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LINDROS À L’ANTICHAMBRE

  • Petit lundi soir tranquille après une longue séance de pelletage. J’en ai profité pour regarder le documentaire Lindros revisité sur les ondes de RDS. Voici ce que je retiens:
  • Le clan Lindros, en particulier sa maman (Bonnie), détestait souverainement Marcel Aubut et il n’était pas question que le surdoué des Generals d’Oshawa amorce sa carrière dans la Vieille capitale. Les Lindros ont tenu leur bout et Eric est finalement passé aux Flyers dans une méga-transaction impliquant plusieurs joueurs, dont l’excellent Peter Forsberg, et une somme de 15 millions de dollars.

    Eric Lindros a jugé que le moment était venu de mettre cartes sur table et d’expliquer son refus d’aller jouer à Québec au début des années 1990.

  • S’il avait été repêché par le Canadien, l’histoire aurait été différente. Il aurait sauté dans son auto immédiatement pour se rapporter à sa nouvelle équipe.
  • À son apogée, Lindros était un joueur dominant à cause de son talent et de son physique très imposant. Un vrai «bulldozer». Ses succès avec John LeClair et Mikael Renberg lui ont éventuellement ouvert les portes du Temple de la renommée.
  • Encouragé par son épouse, la très jolie Kina Lamarche, Lindros croyait que le temps était venu de mettre cartes sur table et d’exposer sa version des faits. Il l’a fait de son mieux, souvent avec humour, et il veut maintenant passer à une autre étape de sa vie.
  • Invité à participer aux discussions entre Lindros et l’état-major des Nordiques, Guy Lafleur a vite compris que le jeune homme ne jouerait jamais à Québec. Il existait un profond malaise entre les deux clans.
  • Lindros a vécu par l’épée et il a péri par l’épée. Il n’était pas obligé de pratiquer un style de jeu aussi robuste, mais il a choisi de le faire et il a fini par en payer le prix face à des joueurs comme Scott Stevens et Darius Kasparaitis. Ses multiples commotions cérérables l’ont forcé à mettre fin à sa carrière après 14 ans dans la LNH.
  • Quand il était jeune, Lindros jouait au hockey huit mois par année. L’été, il jouait au baseball, au tennis ou au soccer. Nos jeunes hockeyeurs devraient faire la même chose.
  • Lindros se préoccupe des gens qui sont victimes de commotions cérébrales. Il a fait un don de 5M$ pour la création d’un Centre de recherche à London, Ontario.

ROBIDAS AU PAYS DE MOUSQUIRI

  • Stéphane Robidas, ex-défenseur du Canadien et des Stars de Dallas, a procédé à l’ouverture officielle du 54e tournoi Mousquiri de Richmond. L’athlète de Sherbrooke aurait bien voulu atteindre le cap des 1000 parties dans la Ligue nationale, mais les blessures en ont décidé autrement. Il rentre donc à la maison avec un total de 937 parties et la fierté d’avoir eu une longue carrière dans le circuit Bettman.

    Stéphane Robidas est parrain d’honneur du 54e tournoi Mousquiri de Richmond. Il pose ici avec Marc-André Martel, maire de Richmond, Guillaume Cayer-Richard, président du tournoi, et Denis Messier, doyen de La Tribune.

  • S’il reconnaît qu’il n’est pas toujours facile de faire carrière à Montréal, Stéphane précise qu’il n’avait pas à supporter la pression qui est le lot des joueurs vedettes. Il n’avait qu’à fournir sa pleine mesure en espérant le mieux. L’équipe était en reconstruction sous la gouverne d’André Savard quand il a porté les couleurs du Bleu Blanc Rouge.
  • C’est Guy Carbonneau, qui le connaissait bien, qui l’a recommandé à l’organisation des Stars de Dallas. «Quand je suis arrivé au Texas, j’étais complètement dépaysé, tellement que j’avais envie de tout abandonner», avoue-t-il. C’est Bob Gainey, alors conseiller spécial des Stars, qui lui a souhaité la bienvenue dans la langue de Molière. Stéphane a le plus grand respect pour l’ancien capitaine des Glorieux.
  • «C’est excitant de jouer à Montréal parce qu’il y a salle comble à tous les matchs et beaucoup d’ambiance dans le Centre Bell, ajoute Robidas. En général, les joueurs peuvent vivre avec la critique. Ça fait partie de la game. C’est souvent plus difficile pour la famille du joueur».
  • Robidas ne cache pas son admiration pour le vieux Andrei Markov. «Il a ralenti avec les années, mais il est tellement intelligent, dit-il. Markov a aidé plein de joueurs du Canadien, dont Sheldon Souray et Mike Komisarek».

    Stéphane Robidas a terminé sa carrière dans la LNH dans l’uniforme des Maple Leafs.

  • Parmi les invités à l’ouverture officielle du tournoi Mousquiri, il y avait Alain Rayes, député de Richmond-Arthabaska, Marc-André Martel, maire de Richmond depuis 30 ans, et Herman Herbers, maire du canton de Cleveland. À la blague, Herman dit à qui veut l’entende que son canton a gagné le championnat de la NBA en plus d’atteindre la Série mondiale!
  • Sylvain Daigle, président du hockey mineur à Richmond, est un ancien coéquipier de Stéphane Robidas à ShawiniganRobert Drouin, vêtu comme un prince, agit comme maître de cérémonies… Il y avait aussi Stéphanie Roy, représentante de Karine Vallières, Terry Wilkins (Windsor), Keven Deslauriers, Amanda Boersen, Claude Beaubien, Micheline Pouliot, Annie Daigle, Jos Marchand, Bob Boyer, Pyer-Lyne Deslauriers et le bon vieux Marcel Thibault, gérant de l’aréna.
  • Parmi les légendes qui ont participé au Mousquiri (comme joueur ou invité d’honneur), il y a Patrick Roy,

    Patrick Roy fait partie des légendes qui ont participé au tournoi Mousquiri.

    Martin Brodeur, Félix Potvin, Marc-André Fleury, Vincent Damphousse, Éric Desjardins, Stéphane Matteau, Mario Tremblay, Ronald Corey, Guy Lafleur, Pat Burns, Aldo Giampaolo, Michel Bergeron, Pierre Mondou, Patrice Bergeron, Sylvain Lefebvre, Pascal Dupuis, Antoine Vermette, David Perron, Patrice Brisebois, Yanic Perreault, Sean McKenna, Stéphan Lebeau, Dany Dubé, Marc Fortier et Gilbert Perreault.

  • Carey Price fatigué? Voyons donc! Il ne joue jamais deux soirs de suite…
  • Six en ligne pour les Rangers: Le jeune Jimmy Vesey, un produit de l’Université Harvard, a réussi un but de toute beauté pour procurer un gain de 3-2 aux Rangers sur la patinoire de Columbus. 6 de suite pour la troupe d’Alain Vigneault.
  • À Calgary, Mike Smith a stoppé 36 rondelles pour blanchir les Flames 5-0. Le jeune Christian Dvorak a été le meilleur des Coyotes avec deux buts et une passe. Natif de l’Illinois, Dvorak est un produit des Knights de London. Il a amassé 121 points dans la Ligue Junior de l’Ontario l’hiver passé.
  • C’était amusant de revoir Jean-Guy Gendron dans le documentaire de l’ONF sur les premiers balbutiements des Nordiques en 1972. Il y avait moins de neige sur la couverture, mon cher Jean-Guy!
  • Jason Pominville, du Wild du Minnesota, est l’employé de la semaine dans la LNH. Il a devancé le gardien de but Jake Allen (Saint-Louis) et l’attaquant Viktor Arvidsson (Nashville).
  • Selon Michel Bergeron, Jeff Petry est redevenu le joueur qu’il était à Edmonton. Difficile de le contredire.
  • Claude J. Lavoie anime Le Réveil du Nord sur les ondes de CINN-FM à Hearst, Ontario. Parmi ses collaborateurs, il y a Pélo, Paul Dubé (boxe) et Marc Griffin (baseball).
  • Paul Villeneuve a finalement revendu la chaise qu’il avait louée sur la Catherine pour le défilé de la coupe Stanley!

Le mot d’humour

Les gens me disent de ne pas vivre dans le passé, mais la musique était tellement meilleure dans ce temps-là!