- GAÉTAN BOUCHER, notre plus grand olympien, 55 ans.
- RYAN GETZLAF, joueur étoile des Ducks d’Anaheim, 28 ans.
- GUY HEMMINGS, champion de curling, 59 ans.
- ADAM DEADMARSH, ancien joueur de l’Avalanche, 38 ans.
- MANUEL SANTANA, ex-champion de tennis, 75 ans.
- GILLES BLANCHARD, journaliste à la retraite.
- STEVE et PHIL MAHRE, ski alpin, 56 ans.
- RANDY CUNNEYWORTH, ancien joueur des Sénateurs, 52 ans.
- DENIS CARON, de Beloeil, 68 ans.
- CLAUDIA SCHIFFER, mannequin, 41 ans.
- JEAN CLOUTIER, de Lac-Mégantic.
- ROBBIE THOMPSON, ancien joueur des Giants, 51 ans.
- BONO, chanteur du groupe U-2, 53 ans.
- JIM HICKMAN, ancien joueur des Cubs, 76 ans.
- EDDIE CYR, ancien joueur des Braves de Valleyfield.
- FRANCE BELLIVEAU, de Blainville.
- PIERRE GUITARE, partisan du Canadien, 70 ans.
- JIM ZORN, ancien joueur des Seahawks de Seattle, 60 ans.
- MONIQUE CADIEUX, retraitée du Journal de Montréal.
- ITALO DiGIOACCHINO, de Montréal-Bourassa.
- PETE SCHOUREK, ex-lanceur des Red Sox, 44 ans.
- SEBASTIEN FARRESE, de Sainte-Rose, 37 ans.
- LOUIS GEOFFRION, de Pierrefonds, 56 ans.
- GERRY LEROUX, ancien boxeur, 89 ans.
- DIANE MARTINEAU, des JSH.
- MURRAY EAVES, hockey, 53 ans.
La Java du jeudi
En passant
- ANTOINE L’ESTAGE et sa belle Nathalie l’ont échappé belle lors d’un rallye automobile présenté en Oregon. Ils ont raté une courbe et plongé dans un ravin de 50 pieds à environ 130 km/heure, mais s’en sont tirés avec des blessures mineures. Un vrai MIRACLE! «Peut-être que j’aurais dû initier mes enfants aux quilles!», s’est exclamé JACQUES L’ESTAGE en apprenant l’accident de son fils.
Le gardien de but Tuukka Rask a volé un but à Joffrey Lupul au début de la période de prolongation. Les Bruins mènent la série 3-1.
- Les MAPLE LEAFS ont bataillé avec l’énergie du désespoir pour niveler les chances dans la série, mais le troisième but du match de DAVID KREJICI a permis aux Bruins de prendre une avance de 3-1 dans la série. En prolongation, les deux équipes ont offert un excellent spectacle. TUUKKA RASK a réalisé son plus bel arrêt aux dépens de JOFFREY LUPUL, le meilleur joueur dans le camp des Leafs. Rask a réussi 90 arrêts dans les deux victoires des Bruins à Toronto.
- Les MAPLE LEAFS n’ont pas gagné la coupe Stanley depuis 46 ans, mais leurs partisans sont toujours aussi fidèles. Ils étaient aussi nombreux à l’extérieur du Centre Air Canada, mercredi soir.
- On peut comprendre la déception de LUCIAN BUTE, forcé de subir une opération à la main gauche. Ce sont des choses qui arrivent dans le merveilleux monde de la boxe. N’ayez crainte, le combat Pascal-Bute finira bien par avoir lieu.
- Tout le monde aime MARC-ANDRÉ FLEURY, mais on comprend facilement la décision de Dan Bylsma de faire confiance à TOMAS VOKOUN pour le cinquième match de la série Penguins-Islanders. Fleury a souvent eu des ennuis durant sa carrière et il n’a pas été à la hauteur depuis le début de la série. C’est aussi simple que ça. À Nashville, Vokoun a compilé une fiche de 3-8 dans les séries de la coupe Stanley. Il est un ancien joueur de l’organisation du CANADIEN.
Marc-André Fleury connaît des moments difficiles devant le filet des Penguins. Il a été tout simplement affreux lors du dernier match contre les Islanders.
- PAUL MacLEAN ferait un bon comédien. Il dit avoir «peur à mort» avant le match de jeudi soir au Centre Bell.
- VINCENT DAMPHOUSSE se demande pourquoi on ne fait pas jouer le jeune ALEX GALCHENYUK plus souvent.
- La 67e saison de la Ligue de BASEBALL ÉLITE du Québec s’amorcera vendredi soir à REPENTIGNY.
- PATRICE BERGERON, des Bruins, montre déjà une barbe grisonnante.
- BRUNO HEPPELL, Marcel Bonin et Gilbert Delorme étaient parmi les invités au souper bénéfice des Jeux olympiques spéciaux.
- Dans le futur COLISÉE DE QUÉBEC, la galerie de presse pourrait porter les noms de CLAUDE LAROCHELLE et de MARC SIMONEAU. Why not?
- La dépouille mortelle de MARC SIMONEAU sera exposée en chapelle ardente à l’Hôtel de Ville de QUÉBEC jeudi après-midi. Les funérailles auront lieu vendredi dans la Vieille capitale.
- La golfeuse SARA-MAUDE JUNEAU, membre de la LPGA, profite de quelques jours de congé. Elle sera au club Le Blainvillier aujourd’hui pour rencontrer les membres de la presse.
- TIGER WOODS ne raffole pas du parcours TPC Sawgrass, site du Championnat des joueurs de la PGA. Il trouve que ce type de parcours, dessiné par Pete Dye, joue trop dans la tête des joueurs. Woods a gagné ce tournoi une seule fois, soit en 2001.
- JEAN-GABRIEL PAGEAU, des Sénateurs d’Ottawa, est le neveu de PAUL PAGEAU, ex-gardien de but de la LHJMQ.
- MAUDE-AIMÉE LEBLANC a réussi l’épreuve de qualification et elle pourra participer au prochain Omnium des Etats-Unis à Southampton.
- LES ÉCHOS DU BASEBALL: Les Indians de Cleveland ont une bonne équipe, mais ils en arrachent aux guichets. Ils sont bons derniers dans les majeures avec une moyenne de 14 400 clients par match… ANDY PETTITE a besoin de deux victoires pour atteindre le cap de 250… Son coéquipier C.C. SABATHIA est rendu à 198… Les MARLINS ont dû fermer leur deuxième balcon parce qu’ils n’ont pas assez de spectateurs. Tant pis pour JEFFREY LORIA.
- Le vétéran MICHEL BOYER se dit très heureux dans son rôle de directeur de golf au club LE CARDINAL de Sainte-Dorothée. Il ajoute que le parcours est beau comme au mois d’août.
- ÉRIC COUTURE, de Golf Québec, est nouveau papa.
- MICHEL THERRIEN a raison quand il dit que la Ligue nationale a besoin de jeunes joueurs comme BRENDAN GALLAGHER pour vendre le hockey.
- Je vous rappelle encore une fois mon adresse courriel: a06rousseau@gmail.com
- MARC GRENIER, ancien directeur général du Royal Québec, connaît un fort début de saison sur le vieux parcours de NORTH HATLEY.
- Bonne fête en retard à ROGER SMITH, ancien joueur étoile des Braves de Richmond. Roger vit maintenant dans la région de Gatineau.
Le mot d’humour
Colin Montgomerie: «Toutes les femmes voudraient être avec Fred Couples et tous les hommes voudraient jouer au golf comme lui. On peut dire qu’il s’arrange bien avec les deux sexes!»
Les anniversaires du jeudi 9 mai
En passant
- DANIEL TALBOT, champion golfeur, 60 ans.
- STEVE YZERMAN, ancien capitaine des Red Wings, 48 ans.
- TONY GWYNN, ancien voltigeur des Padres, 53 ans.
- STÉPHANE YELLE, ancien joueur des Bruins et de l’Avalanche, 39 ans.
- JOHN MAHAFFEY, vétéran de la PGA, 65 ans.
- SHAWN O’SULLIVAN, ancien boxeur de Toronto, 51 ans.
- BRANDON WEBB, ex-lanceur étoile des DiamondBacks de l’Arizona, 34 ans.
- GILLES W. AUMONT, sportif de Joliette, 75 ans.
- MARK TINORDI, ex-défenseur des North Stars, 47 ans.
- MARC LABRECQUE, de l’équipe RDS, 51 ans.
- TONY TWIST, ancien joueur des Blues, 45 ans.
- JOE CIRELLA, ex-défenseur des Rangers, 50 ans.
- SOPHIE DESLONGCHAMPS, de Blainville.
- SERGE LEBLANC, du tournoi Bienfaisance de Laval, 47 ans.
- CHRISTIAN AREL, de Big Foot, 44 ans.
- JOHANNE ROUSSY et LOUISE GAGNÉ, du Journal de Montréal.
- BILL HOGABOAM, ancien joueur des Red Wings, 64 ans.
- JIM DENT, ex-golfeur de la PGA, 74 ans.
- SAM MEJIAS, ancien joueur des Expos, 60 ans.
- JOCELYNE LAFOND, sportive du quartier Hochelaga-Maisonneuve.
- RÉAL SAUVÉ, de Nissan Canada, 67 ans.
- MICHEL CYR, des Braves du Coin à Gatineau.
- SERGE LEDOUX, quilleur de Verdun, 65 ans.
- ELENA RUBERTO et OHMAN MORRIS, des JSH.
Hommage à Mario Brisebois
Jocelyne Bourassa et son ancien caddie Mario Brisebois sont les invités d’honneur du tournoi bénéfice de la Fédération québécoise de golf, jeudi, au club Le Blainvillier.
Tout le monde connaît la carrière de notre Jojo nationale et son implication dans le golf, tant à la LPGA, sur le circuit canadien et un peu partout à travers le pays. Voici maintenant l’hommage à Mario Brisebois concocté par Réal Labbé, Denis Messier et votre humble serviteur, les trois amigos d’Augusta:
Jocelyne Bourassa et son ancien caddie Mario Brisebois sont amis et complices depuis plus de 40 ans. Deux élèves de Gilles Bourassa, Monsieur Golf à Shawinigan-Sud.
«Tout le monde connaît le «p’tit gars» de Shawinigan, Jean Chrétien. Il y en a moins cependant qui connaissent le «p’tit gars» de Shawinigan-Sud.
Modeste, notre ami Mario Brisebois est beaucoup plus porté à aider les autres qu’à recevoir des honneurs ou des hommages qui sont pourtant bien mérités.
On peut tracer un parallèle entre les deux «p’tits gars». Ils ont tous les deux mal tourné: le premier est devenu politicien et le second journaliste! Pas les métiers les mieux vus par le bon peuple.
Qu’à cela ne tienne, Mario a toujours fait honneur à son rôle de journaliste sportif et de nombreux athlètes lui doivent une couverture exceptionnelle. Si le golf a toujours été un sport très important pour lui (on y reviendra plus loin), le ski et le tennis ont également été ses terrains de jeu favoris.
Combien d’athlètes lui doivent une renommée pan-canadienne parce que Mario était à l’affût de tous leurs exploits? Pendant la trentaine d’années qu’il a passées au Journal de Montréal, il s’est régulièrement mis à l’heure européenne pour suivre les performances des athlètes qui performaient un peu partout en Europe. Levé tôt, couché tard, notre ami est vrai bourreau de travail, une dynamo comme disait Jacques Beauchamp, l’homme qui lui a donné la chance de faire du journalisme quotidien.
Mario n’a jamais compté ses heures et ses énergies pour bien couvrir ses secteurs d’activités. Toujours à la recherche de la nouvelle, il est ce que l’on appelle dans le jargon du métier un «newsgetter», une espèce malheureusement en voie d’extinction. Même après son départ du Journal de Montréal, dans des circonstances malheureuses à la suite d’un lock-out qui a duré deux ans, Mario n’a jamais cessé de travailler, qui pour le golf, qui pour le tennis et qui pour le ski. Même qu’il a en hypothéqué sa santé et il lui a fallu beaucoup de persévérance, et le soutien de «ses trois femmes», pour passer à travers une pneumonie malicieuse. Sitôt remis sur pieds, Mario a repris le collier avec autant d’enthousiasme qu’avant.
Notre présence ici est justifiée par la célébration du 40e anniversaire de la victoire de Jocelyne Bourassa au tournoi La Canadienne. Mais qui était le jeune homme, aux cheveux à la mode de l’époque, qui était à ses côtés? Mario, bien entendu.
À Shawinigan-Sud, en ce temps-là, Gilles Bourassa était autant Monsieur Golf que Monsieur Hockey. Si Gilles a été le grand artisan de la carrière de sa soeur Jocelyne, il a également eu une grande influence auprès du jeune Brisebois, autant au niveau du sport que de la discipline.
Ce dernier travaillait au club de golf et quand il avait la chance, il se retrouvait vite au champ d’exercice pour frapper des balles. Et frapper des balles, et encore frapper des balles. Au grand plaisir de Gilles qui aimait beaucoup voir quelqu’un travailler aussi fort.
Le résultat de ces efforts a fait que Mario est devenu un golfeur très respectable avec une marge d’erreur de 2. D’ailleurs dans ses années juniors, il faisait régulièrement la lutte à Daniel Talbot qui sortait toujours vainqueur. Et, comme dirait son ami Rousseau, le golf de Mario ne fait que dépérir depuis cette époque, mais il est devenu un maître au 19e trou!
Si Mario a connu certains moments de gloire comme cadet de Jocelyne Bourassa, il a su rester au sommet de son art comme journaliste. Outre sa grande capacité de travail, Mario a toujours pu conserver le respect des athlètes qu’il a rencontrés. Jamais il n’a trahi une confidence et c’est pourquoi ces mêmes athlètes n’hésitaient pas à se confier à lui.
C’est avec un grand plaisir que nous nous joignons à cette fête et nous en profitons pour lui réitérer notre amitié».