Les anniversaires du mardi 22 octobre

En passant

  • ROBINSON CANO, joueur étoile des Yankees, 31 ans.
  • STÉPHANE QUINTAL, ex-défenseur du Canadien, 45 ans.
  • BUTCH GORING, ancien joueur de centre des Islanders, 64 ans.
  • ICHIRO SUZUKI, voltigeur de droite des Yankees, 40 ans.
  • CLAUDE CHARRON, ancien ministre et animateur, 67 ans.
  • RON TUGNUTT, ex-gardien de but du Canadien, 46 ans.
  • PIERRE DUGAS, professeur de golf émérite, 67 ans.
  • YVAN PONTON, animateur et comédien, 68 ans.
  • CATHERINE DENEUVE, actrice française, 70 ans.
  • GUY BEAULIEU, directeur de golf au club Le Sorcier (Gatineau), 48 ans.
  • SERGE DAGENAIS, champion senior du club Summerlea, 60 ans.
  • BERNARD BERNIER, du Tennis 13 et du Fontainebleau, 53 ans.
  • WILBUR WOOD, ex-lanceur des White Sox, 72 ans.
  • LOUISE FOURNIER, patinage artistique.
  • YVES GIRARD, homme d’affaires de Laval.
  • BRIAN BOITANO, champion patineur, 50 ans.
  • SCOTT LACHANCE, ex-défenseur du Canadien, 41 ans.
  • GERRY JAMES, ancien joueur des Maple Leafs, 79 ans.
  • BARBARA POTTER, tennis, 52 ans.
  • JEAN-CLAUDE BOUCHER, de Mascouche, 67 ans.
  • JACQUES BEAULIEU, vétéran golfeur, 74 ans.
  • PASCALE VALLÉE, de Bombardier Aéronautique.
  • LISE THÉRIAULT, de Sherbrooke.
  • RÉJEANNE LACHANCE, de Saint-Constant, 50 ans.

Très léger avantage aux Red Sox

J’en connais plusieurs qui sont déçus parce que les Dodgers se sont fait sortir des séries par les Cards de Saint-Louis. Il faut savoir que les Dodgers ont des racines profondes au Québec depuis l’époque où les Royaux de Montréal étaient leur club-école dans la Ligue internationale.

Le fait est que l’équipe de Magic Johnson a connu une excellente campagne après l’entrée en scène du jeune Yasiel Puig. À un certain moment, les Dodgers ont gagné 42 parties sur 50 ou quelque chose du genre pour s’emparer du premier rang. On les voyait déjà en Série mondiale, mais les choses ne sont pas si simples.

En demi-finale, les Dodgers ont eu le malheur de perdre les deux premiers matchs à Saint-Louis contre une formation qui regorge de bons lanceurs. Ils ont bien tenté de renverser la vapeur, mais le mal était fait.

Le jeune Michael Wacha en a fait voir de toutes les couleurs aux frappeurs des Dodgers en série de championnat.

Le jeune Michael Wacha en a fait voir de toutes les couleurs aux frappeurs des Dodgers en série de championnat.

À part Carlos Beltran, les Cards n’ont pas de grande vedette, mais ils accordent généralement peu de points à leurs adversaires et ils sont très tenaces au bâton. Ils savent comment «fabriquer» des points. L’excellent Clayton Kershaw pourrait vous en parler longuement.

Au risque de me répéter, Saint-Louis est une grande ville de baseball. Les Cards sont leur fierté depuis les beaux jours de Stan Musial, Marty Marion et Red Schoendienst. Aucune autre équipe des ligues majeures ne possède une plus belle tradition, y compris les Yankees.

Si les Cards participent si souvent aux séries de championnat, c’est d’abord parce qu’ils ont cette faculté de «développer de bons lanceurs». C’était vrai dans le temps de Bob Gibson et de Steve Carlton et ça na pas changé. Aujourd’hui, les chefs de file s’appellent Wainright et Wacha.

Papi et Pedroia

L’histoire des Red Sox est tout aussi intéressante. Après le triste passage de Bobby Valentine, ils étaient dans la merde jusqu’au cou, mais le directeur général Ben Cherington a rapidement remédié à la situation en mettant le grappin sur des joueurs comme Napoli, Victorino, Gomes, Drew et Dempster.

Cherington a aussi joué de chance en embauchant le releveur Koji Uehara, joueur par excellence de la série de championnat contre Détroit. Ce dernier avait été engagé pour lancer en septième et huitième manche, mais il a si bien fait son boulot qu’il est devenu le «stopper» de l’équipe.

Dustin Pedroia: un leader exceptionnel. Le Derek Jeter des Red Sox.

Dustin Pedroia: un leader exceptionnel. Le Derek Jeter des Red Sox de Boston.

Les Red Sox peuvent généralement se fier sur Lester, Buchholz et Lackey pour six ou sept manches, puis la relève fait le reste du travail. C’est la vie des temps modernes. On ne demande plus au lanceur partant de tenir le coup pendant neuf manches. Le plus bel exemple est celui de Max Scherzer, des Tigers. Il sera le prochain gagnant du trophée Cy Young même s’il n’a pas lancé une seule partie complète en 173 départs.

Les Red Sox ont aussi deux formidables leaders en David Ortiz et Dustin Pedroia. Le premier est considéré à juste titre comme le meilleur frappeur de choix de l’histoire du baseball. Il peut mettre fin aux hostilités d’un seul élan, comme il l’a fait au début de la série contre Détroit.

Pedroia, malgré sa petite taille, est le coeur et l’âme des Red Sox. Comme Derek Jeter, il vous bat de toutes les façons. Il joue au baseball avec une détermination à toute épreuve. C’est pourquoi on n’a pas hésité à lui faire signer un contrat dans les 100 millions.

N’en déplaise aux partisans des Dodgers, la prochaine Série mondiale nous réserve un spectacle de grande qualité. Les Red Sox semblent posséder un léger avantage à cause de leur puissance au bâton, mais ils devront se débrouiller sans Big Papi pour les trois parties à Saint-Louis parce que le règlement du frappeur de choix ne sera pas en vigueur. Il sera toutefois disponible comme frappeur d’urgence.

Selon le système 2-3-2, les Red Sox profiteront aussi de l’avantage de jouer devant leurs partisans au début et à la fin de la série si elle se rend à six ou sept parties.

Depuis le temps, pas besoin de vous dire dans quel camp je me trouve. Je m’attends cependant à une longue série et les Cards me font très peur.

 

 

 

 

Les anniversaires du lundi 21octobre

En passant

  • MÉLANIE TURGEON, championne de ski alpin, 37 ans.
  • WHITEY FORD, fameux lanceur des Yankees, 87 ans.
  • MIKE KEENAN, ex-entraîneur de la LNH, 64 ans.
  • ZACH GREINKE, lanceur des Angels, 30 ans.
  • LOU LAMORIELLO, patron des Devils, 71 ans.
  • CLAUDE CHAGNON, président de la Fondation de l’athlète d’excellence du Québec.
  • BILL RUSSELL, ancien joueur des Dodgers, 65 ans.
  • FRANÇOIS GRAVEL, ancien joueur des Cataractes, 45 ans.
  • SUZANNE BERGERON, golfeuse de la Rive-Sud.
  • JONAS SVENSSON, tennis, 47 ans.
  • BRIAN KILREA, ex-entraîneur des 67’s d’Ottawa, 79 ans.
  • BRYAN SEMPLE, ski alpin, 31 ans.
  • VINCENT TREMBLAY, ex-gardien de but des Maple Leafs, 54 ans.
  • ANNIE RENAUD, de Soccer Québec.
  • FRANKLIN STUBBS, ancien des Dodgers, 53 ans.
  • PHILIPPE SIGNORI, de Montréal.
  • GEORGE BELL, ancien joueur des Blue Jays, 54 ans.
  • ANDRÉ JUTRAS, de la STM, 61 ans.
  • SÉBASTIEN LAVALLIÈRE, des JSH.

Trois journées de rêve à Mystical Golf

Toute bonne chose a une fin. Après 17 ou 18 heures de route à travers les États-Unis, me voici de retour devant l’écran.

Mercredi matin, il fallait boucler la valise, jouer une dernière ronde à Myrtle Beach, saluer les amis, puis sauter dans l’auto pour le long trajet de retour à la maison. Lorsque le soleil brille de tous ses feux, il n’est pas facile de quitter ce coin de paradis.

Avec les années, ces aventures deviennent de plus en plus épuisantes, mais elles valent la peine d’être vécues. Et s’il est vrai que les voyages forment la jeunesse, alors il faut que je me dépêche d’en profiter!

Claude Pardue (à gauche) déroule toujours le tapis rouge pour ses invités.

Claude Pardue (à gauche) déroule toujours le tapis rouge pour ses invités.

Après avoir remercié les journalistes d’avoir visité ses trois superbes parcours, Claude Pardue, président de Mystical Golf, a déclaré: «Nous sommes fiers de notre produit et nous voulons le faire connaître davantage. Je vous invite donc à faire part de vos découvertes à vos lecteurs et auditeurs. Je suis certain que vous avez créé de belles amitiés cette semaine et que vous garderez un bon souvenir de votre séjour ici. C’est encore plus important».

M. Pardue est un gros bonhomme qui aime rire, s’amuser, raconter des histoires et faire la promotion de ses trois bébés (The Witch, The Wizard et Man O’War). Il est aussi un homme d’affaires averti qui a fait ses classes à Pinehurst avant de déménager à Myrtle Beach à la fin des années 1980. Il a joué seulement quatre rondes en 2013. «Je ne suis pas un golfeur et je n’ai jamais eu la prétention d’en être un», dit-il avec un sourire en coin.

Ce qu’il aime par-dessus tout, c’est superviser l’administration de ses trois terrains, leur donner de la visibilité et bavarder avec les visiteurs.

Dessinés par Dan Maples, de concert avec Claude Pardue, les trois parcours sont très différents. The Witch a été bâti à moitié dans les marécages et certains trous vous laissent croire que la sorcière apparaîtra bientôt entre les arbres pour célébrer l’Halloween. Le Golf Digest a donné une excellente note à ce parcours: quatre étoiles et demie.

The Wizard a un plus beau look avec ses monticules, ses fleurs et ses boules d’herbe longue. Il est aussi plus «permissif» pour le golfeur moyen. Les trois derniers trous, entourés d’eau, sont particulièrement intéressants.

Le Man O’War est le plus long et le plus ardu. Un vrai champ de bataille. Pour le jouer à sa pleine longueur (près de 6800 verges), il faut être un golfeur de fort calibre. Il y a de l’eau sur 17 des 18 trous. Le pavillon, construit sur des pilotis, est aussi très original.

Je vous dis simplement ceci: si vous planifiez un voyage de golf en Caroline, n’hésitez pas un instant à cliquer sur l’adresse suivante: www.mysticalgolf.com. Vous pouvez aussi téléphoner au numéro suivant: 843.282.2977.

Vous découvrirez un forfait alléchant qui comprend trois rondes de golf, quatre nuités au Sea Mist (à deux pas de la mer) et une soirée au théâtre Alabama.

Au 19e trou

  • MARCEL-PAUL RAYMOND, vice-président de Golf Québec, a complété son séjour à Myrtle Beach avec une magnifique ronde de 75 sur le difficile parcours MAN O’WAR. Il possède un style peu orthodoxe, mais il cogne la balle avec autorité et il éprouve une grande passion pour son sport. Comme son ami BEN LEDUC, il est aussi un champion en ce qui concerne les QUESTIONS sur le monde du sport.

    Marcel-Paul Raymond donne tout un spectacle quand il s'installe pour frapper la petite balle blanche.

    Marcel-Paul Raymond donne tout un spectacle quand il s’installe pour frapper la petite balle blanche.

  • JEAN-PIERRE FAGNANT, de Chambly, était fou de joie après avoir réussi trois birdies sur le dernier neuf. Il a joué comme un champion en compagnie de son ami d’enfance DANIEL CAZA, de Golf International.
  • DAVID WOOD, de Buffalo Communications, a vu au bon fonctionnement du tournoi et des activités sociales. Il a écrit un livre sur ses aventures de golf à travers le monde et il en a vendu plus de 30 000 exemplaires.
  • THE WIZARD est mon parcours préféré parce qu’il est mieux adapté au golfeur moyen. THE WITCH exige beaucoup de précision tandis que MAN O’WAR est un véritable champ de bataille avec ses nombreux plans d’eau.
  • RUSSELL CAMPBELL, ancien représentant de la compagnie Fletcher, mérite amplement le titre de parfait gentilhomme. L’homme de 69 ans porte fièrement les couleurs du club Royal Montréal, lequel accueillera l’Omnium du Canada en 2014.
  • JIM STRONG, de Kitchener-Waterloo, a bien connu le légendaire MOE NORMAN, une «machine» à frapper des balles.
  • DOVE JONES, de Charleston, était contente de revoir son amie CECILIA BARKSDALE, responsable de la boutique au club Pine Lakes.
  • YVAN VANIER, de Mirabel, a vite épuisé son anglais, mais il lui restait du français en masse!
  • Je tiens également à remercier JEAN-THOMAS KOBELT qui a contribué à rendre mon voyage à Myrtle Beach encore plus agréable.