Souvenirs de Piton

Serge Savard a non seulement joué sous les ordres de Claude Ruel, mais il est devenu son patron durant les années 1980. Il avait beaucoup de respect pour ce petit homme qu’on appelait affectueusement Piton.

«Claude a connu une très belle carrière dans l’organisation du Canadien, déclare l’ancien capitaine des Glorieux. Selon moi, il était meilleur comme adjoint que comme entraîneur-chef. Il est d’ailleurs devenu un des premiers adjoints dans la Ligue nationale, au début des années 1970. Plus tard, il a fait sa marque comme recruteur. Quand il entrait dans un aréna, il avait un statut. On savait qu’on avait affaire à un très bon homme de hockey».

Serge Savard a joué longtemps sous les ordres de Claude Ruel avant de devenir son patron au milieu des années 1980.

Serge Savard a joué longtemps sous les ordres de Claude Ruel avant de devenir son patron au milieu des années 1980.

Si on se fie seulement aux statistiques, Ruel a été un très bon entraîneur-chef. Derrière le banc du Canadien, il a remporté 172 victoires contre 82 défaites et 51 parties nulles, ce qui lui confère une excellente moyenne de ,648. Il a aussi remporté la coupe Stanley après avoir succédé à Toe Blake.

Le fait est que Ruel n’avait pas la couenne assez dure pour exercer le métier d’entraîneur-chef sur une longue période. Il considérait les joueurs comme «ses p’tits gars» et il était trop bon gars pour serrer la vis. Comme adjoint de Bowman, il était parfait. Scotty servait de père et lui de mère. Il pouvait enseigner le hockey aux plus jeunes et il servait de tampon entre Scotty et ses nombreux joueurs étoiles. À sa façon, il a contribué largement aux succès du Canadien entre 1975 et 1980.

Comme la majorité de ses pairs, Ruel était plus un motivateur qu’un stratège. Dans son livre, le hockey n’était un jeu très compliqué. Il fallait d’abord développer un bon coup de patin, bien suivre les consignes, pratiquer l’échec-avant, travailler sans relâche et jouer en fonction du «cadran» en fin de partie.

Pour lui, il était primordial que chaque joueur fournisse sa pleine mesure, son 110%. Il avait aussi compris que le meilleur moyen de battre la puissante équipe soviétique était de «fermer le centre de la patinoire».

Fou de baseball

Je me souviens de longues balades en autobus à la fin des années 1970 et au début des années 1980. Les journalistes étaient alors peu nombreux et ils pouvaient voyager avec l’équipe. Un pur bonheur.

Cette photo date de la fin des années 1970. Assis dans son petit bain-tourbillon, Claude Ruel répond aux questions des journalistes François Lemenu, Gilles Terroux et André Rousseau. Oui, c'est bien moi, en plus mince.

Cette photo date de la fin des années 1970. Assis dans son petit bain-tourbillon, Claude Ruel répond aux questions des journalistes François Lemenu, Gilles Terroux et André Rousseau. Oui, c’est bien moi, en plus mince.

Chaque fois que c’était possible, je m’asseoyais à l’arrière de l’autobus pour discuter de baseball avec Ruel et Bowman. Ils avaient tous les deux une grande passion pour le sport national des Américains. Même chose pour le Prof Caron, un des adjoints de Sam Pollock. Le Prof possédait une mémoire phénoménale et connaissait la feuille de route de presque tous les joueurs.

C’était quand même curieux de discuter de baseball dans l’autobus qui transportait la meilleure équipe de la Ligue nationale de hockey.

Toasts & Café

  • Gilles Vachet nous informe que GUY ÉMOND prend du mieux à l’hôpital de LE GARDEUR après avoir été victime d’une pneumonie. Elvis is still alive!
  • La ville de LAS VEGAS lance aujourd’hui sa campagne HOCKEY VISION dans l’espoir d’attirer une équipe de la Ligue nationale. GARY BETTMAN sera sur place. L’objectif est de recruter 10 000 personnes prêtes à fair un dépôt pour des «billets de saison».
  • RÉJEAN HOULE était très ému quand il a commenté le décès de son ami CLAUDE RUEL. «Carol Vadnais, Gilles Tremblay, Jean Béliveau, la femme de Mario et maintenant Piton. Nos soldats tombent comme des mouches depuis quelques mois et ça fait réfléchir», a-t-il dit. Au bord des larmes, il a ajouté: «Ça nous fait réaliser comment nous avions un bon groupe de gars durant les années 1970».
  • TERRY RYAN, premier choix du Canadien à la séance de repêchage de 1995, ne porte pas MICHEL THERRIEN dans son coeur. Il a joué sous ses ordres à FREDERICTON et n’a pas aimé son style de coaching. C’est ce qu’il a confié au journaliste Stephen Brunt, de Toronto. Ryan est retourné vivre à TERRE-NEUVE et il a écrit un livre sur ses aventures dans le hockey.

    Terry Ryan a été le premier choix du Canadien à la séance de repêchage de 1995.

    Terry Ryan a été le premier choix du Canadien à la séance de repêchage de 1995. Il pose ici avec André Boudrias et Doug Robinson.

  • Le Canadien KEN TARLING a mérité une place au sein du circuit Senior de la PGA européenne. MARC GRENIER, de Sherbrooke, l’a bien connu à ses débuts chez les professionnels. Il lui a d’ailleurs envoyé un message de félicitations.
  • CLAUDE GRENIER, un ancien de Milby qui fait carrière en Autriche, a tenté de se classer pour le circuit européen, mais il a raté son coup de justesse.
  • ANDRÉ P. BEAUCHAMP, dit le poète sous les étoiles, vient de rendre l’âme. Il avait 84 ans et il était le frère du regretté JACQUES BEAUCHAMP, mon premier patron dans un certain journal de la rue Port-Royal.
  • LOUISE BARDIER, ex-présidente du club Médaille d’Or, a bien connu CLAUDE RUEL quand il jouait au tennis sur les courts de Longueuil avec ROLLAND GODIN. Piton jouait au tennis comme s’il participait à la finale de Wimbledon. Il voulait toujours gagner.
  • Les PHILLIES étudient sérieusement la possibilité d’échanger le vétéran lanceur COLE HAMELS, héros de la Série mondiale en 2008. Ils auraient discuté avec les RED SOX, les Cards, San Diego et Texas. Âgé de 31 ans, Hamels est sous contrat pour quatre autres saisons et les Phillies lui doivent quelque chose comme 96M$!
  • MICHAËL RHÉAUME, des Cougars du Collège Champlain, vient d’atteindre le plateau des 100 points. Encore deux buts et il en aura 50. Michaël est ses coéquipiers apprécient leur nouvelle patinoire au Complexe sportif de l’Université BISHOP’s.
  • Le PLAZA DE MARIEVILLE a remporté le championnat de la saison régulière pour une deuxième année de suite dans la Ligue Senior des des Cantons de l’Est. La confirmation est survenue dans une victoire de 4-3 contre Lac-Mégantic. GEORGES-ÉTIENNE CÔTÉ a tranché en prolongation pour le Plaza… Dans un autre match, SAMUEL MORNEAU a réussi un tour du chapeau pour mener les Maroons de WATERLOO à une victoire de 7-6 contre Sherbrooke.
  • JACQUES VILLENEUVE s’est blessé à une cheville à Boonville et tout indique que sa carrière de pilote de MOTONEIGE est enfin terminée. À 61 ans, ça serait peut-être une bonne affaire!
  • ROB MANFRED, nouveau commissaire du baseball, veut s’associer à tous les organismes dans un seul but: rendre le baseball plus accessible et plus attrayant pour les JEUNES.
  • JEAN-GUY TALBOT assistera au match Canadien-Oilers jeudi soir. Il sera accompagné de son fils MICHEL et de sa petite-fille BRITTANY.
  • JAMES SHIELDS, ex-lanceur des Rays de Tampa, a choisi de poursuivre sa carrière à SAN DIEGO. Un contrat de 4 ans qui lui rapportera environ 72M$. Vive l’autonomie!
  • ELLIS VALENTINE, Al Oliver et Jerry White seront dans la métropole le 2 avril pour une soirée de QUILLES au profit du Foyer pour les femmes autochtones de Montréal. RICH GRIFFIN et Terry Haig seront aussi de la fête.

Le mot d’humour

Une pizza brûlée, une bière congelée et une femme enceinte. Dans les trois cas, il y a un épais qui ne l’a pas sortie à temps!

Les anniversaires du mardi 10 février

En passant

  • GREG NORMAN, longtemps Numéro Un de la PGA, 60 ans.
  • MARK SPITZ, champion olympique de natation, 65 ans.
  • MIKE RIBEIRO, brillant joueur de centre des Predators de Nashville, 35 ans.

    Greg Norman a longtemps dominé le circuit de la PGA, mais n'a gagné que deux tournois majeurs.

    Greg Norman a longtemps dominé le circuit de la PGA, mais n’a gagné que deux tournois majeurs.

  • MARIO JEAN, humoriste et comédien, 50 ans.
  • PETER POPOVIC, ex-défenseur du Canadien, 47 ans.
  • MIKE VEILLEUX, ambassadeur du club de la Vallée du Richelieu, 68 ans.
  • LANCE BERKMAN, ex-puissant frappeur des Astros et des Cards, 39 ans.
  • LENNY DYKSTRA, ex-voltigeur des Phillies, 52 ans.
  • PIERRE GAUDREAULT, sportif de Val-d’Or, 57 ans.
  • CLAUDE DROUIN, ancien des Draveurs de Trois-Rivières, 53 ans.
  • PHILIPPE REZZONICO, chroniqueur culturel, 53 ans.
  • ANDRÉ MARTEL, retraité du Journal de Montréal, 71 ans.
  • BOBBY JONES, ex-lanceur des Mets, 45 ans.
  • MANON GAGNON-LEROUX, de RDS.
  • CATHIE BEAUDOIN, des JSH.

«Piton» Ruel est mort

Le moins qu’on puisse dire, c’est un hiver désastreux pour la grande famille du Canadien. Après les décès de Carol Vadnais, Gilles Tremblay, Jean Béliveau et Colette Tremblay, voici qu’on apprend la mort de Claude (Piton) Ruel, ex-entraîneur et recruteur du Bleu Blanc Rouge. Il avait 76 ans.

Ruel a été vu pour la dernière fois au match de l’Armada de Blainville-Boisbriand, dimanche soir. Il regardait la partie avec son ami Stéphane Pilote, recruteur des Ducks d’Anaheim. Selon les premières informations, il aurait succombé à une crise cardiaque.

À sa façon, l’ancien p’tit gars de Sherbrooke a marqué l’histoire du

Claude Ruel a marqué l'histoire du Canadien comme entraîneur, professeur et recruteur.

Claude Ruel a marqué l’histoire du Canadien comme entraîneur, professeur et recruteur.

Canadien. Après avoir perdu un oeil accidentellement sur la patinoire de Belleville (Ontario) alors qu’il jouait pour le Canadien Junior, Ruel est devenu un si bon entraîneur que c’est lui qui a succédé au légendaire Toe Blake derrière le banc du grand club en 1968. Il avait seulement 29 ans. Ancien élève d’Elmer Lach, il a gagné la coupe Stanley au printemps 1969, mais il a cédé sa place à Al MacNeil environ un an et demi plus tard. La pression était devenue trop lourde sur ses épaules.

Un soir contre les North Stars du Minnesota, il a quitté son poste en pleine partie et c’est Jean Béliveau qui l’a remplacé à pied levé. À la blague, le Gros Bill se vantait d’avoir une moyenne de 1000. comme joueur-instructeur!

Durant les années 1970, Ruel est devenu un précieux allié pour Scotty Bowman et il l’a aidé à gagner cinq coupes Stanley. Il était souvent responsable des exercices de l’équipe et il ne se gênait pas pour commander du temps supplémentaire aux Lafleur, Shutt, Robinson, Gainey, Lambert, Nilan et cie.

Même s’il possédait seulement un oeil, Piton faisait toujours des passes sur la palette et il en était très fier. Il était aussi un excellent motivateur et servait de tampon entre Bowman et ses joueurs vedettes. Il traitait les joueurs comme ses propres enfants et plusieurs d’entre eux ont connu du succès grâce à ses conseils. C’est à lui qu’on doit les expressions «donner son 110%» et «y’en aura pas de facile».

À l’automne 1979, Ruel a effectué un retour derrière le banc lorsque Bernard Geoffrion, étouffé par la pression, a remis sa démission. Il a connu de beaux succès en saison régulière, mais l’équipe n’était plus la même suite aux départs à la retraite des Cournoyer, Dryden et Lemaire. Il y avait aussi d’autres joueurs qui commençaient à prendre de l’âge (Savard, Lapointe, Shutt, Lambert…)

As recruteur

À tout cela, il faut ajouter que Ruel a sans doute été le meilleur recruteur de l’histoire du Canadien. Il avait seulement un oeil, mais le bon. C’est lui qui a insisté pour qu’on choisisse Guy Lafleur (et non Marcel Dionne) à la séance de repêchage de 1971. Ce qui ne veut pas dire qu’il n’avait pas d’admiration pour le petit joueur de centre de Drummondville. Il a aussi joué un rôle important dans le développement des Larry Robinson, Bob Gainey, Rod Langway, Stéphane Richer, Claude Lemieux et Sergio Momesso, pour ne nommer que ceux-là.

Durant sa jeunesse à Sherbrooke, Piton a été tout un joueur de baseball. Il a même reçu une offre des Indians de Cleveland, mais il a préféré tenter sa chance au hockey. Malgré sa petite taille à la Pat Stapleton, il était un excellent défenseur et il aurait probablement atteint la Ligue nationale s’il n’avait pas perdu son oeil.

En dehors de la patinoire, Ruel avait une grande passion pour les courses sous harnais. On le voyait souvent dans les salons de pari de la Rive-Sud. Mes plus vives condoléances à son fils Jean et aux membres de sa famille.

Réaction de Bowman

En apprenant le décès de son ancien adjoint, Scotty Bowman m’a fait parvenir le message suivant: «Claude Ruel était mon meilleur ami lorsque je dirigeais le Canadien. Il était un excellent professeur et il a joué un rôle important dans nos succès durant les années 1970».

Une heure ou deux plus tard, coup de fil à GUY LAPOINTE, ancien membre du Big 3. Il a résumé l’opinion de la majorité de ses anciens coéquipiers en disant: «Je suis en état de choc. Claude Ruel avait le CH tatoué sur le coeur. C’était un vrai de vrai. Je n’oublierai jamais ce qu’il a fait pour moi et pour les autres joueurs du Canadien. Il nous gardait sur la patinoire avant ou après l’exercice régulier pour nous faire travailler encore plus fort. Il était toujours là pour nous encourager. Il a été bon pour toute la gang».

Lors du retrait officiel de son chandail l’automne dernier, Pointu n’a pas manqué de souligner la contribution de Ruel dans son développement comme joueur de hockey.

Canadien 4 Boston 0

Lorsque Max Pacioretty a déjoué Tuukka Rask avec un tir précis à la suite d’un revirement, en début de 3e période, on savait que la victoire était dans le sac pour les visiteurs.

De la façon dont Carey Price se comportait devant son filet, il était évident qu’une avance de deux buts serait suffisante pour lui permettre d’enregistrer sa 29e victoire de la campagne et la 208e de sa carrière, ce qui lui vaut de rejoindre le grand Bill Durnan dans le livre de records du Canadien.

Dale Weise ne cesse de surprendre au sein du premier trio. Il a marqué trois buts en fin de semaine.

Dale Weise ne cesse de surprendre au sein du premier trio. Il a marqué trois buts en fin de semaine.

Après avoir très mal paru contre Phoenix et Buffalo, la troupe de Michel Therrien s’est rachetée de belle façon en remportant une victoire facile contre New Jersey avant d’aller battre les Bruins sur leur patinoire. C’est ce qu’on appelle faire preuve de caractère.

Au cas où vous ne le sauriez pas encore, le Canadien a gagné ses quatre parties contre les Bruins cette saison. En toute objectivité, le CH semble avec le gros bout du bâton en attaque, à la ligne bleue et devant le filet avec des joueurs comme Pacioretty, Markov, Subban et Price.

Les Bruins forment une équipe vieillissante, une équipe qui manque de rapidité pour rivaliser avec le CH. Le grand Zdeno Chara est rendu lent comme une tortue et Milan Lucic n’est pas l’ombre du joueur qu’il était il y a deux ou trois ans.

Pour ce qui est de Tuukka Rask, il vient de remporter sa 125e victoire dans la Ligue nationale, mais il est quasiment nul quand il affronte le Canadien: seulement trois victoires contre 13 défaites.

Enfin, un mot sut Dale Weise. On doute qu’il soit véritablement un joueur de premier trio, mais il se débrouille drôlement bien depuis qu’on l’a muté à droite de Pacioretty et Desharnais. Il n’a aucune pression sur les épaules et il profite pleinement de la chance qui lui est offerte. Il faut toujours se réjouir pour un gars qui obtient du succès à cause de son ardeur au travail.

Conclusion: pendant que la neige s’abattait sur la statue de Bobby Orr, le CH a remporté une de ses plus belles victoires de la saison.

Rapido du lundi

  • Parmi les joueurs de hockey qui se sont rendus à TERREBONNE pour les funérailles de COLETTE TREMBLAY, il y avait Serge Savard, Jacques Lemaire, Doug Risebrough, Réjean Houle, Yvon Lambert, Lucien Deblois, Pierre Mondou, Steve Penney, Pierre Bouchard et Vincent Damphousse. Le monde du hockey était aussi représenté par RONALD COREY, Michel Therrien et sa belle Josée, Bernard Brisset, Alain Chantelois, Ron Fournier, GERRY FRAPPIER, Charles Perreault, Michel Tremblay, Marc Labrecque, Nathalie Lebel, Michel Beaudry, Mario Langlois et Michel Bergeron.

    Jacques Lemaire est venu de la Floride pour assister aux funérailles de l'épouse de Mario Tremblay à Terrebonne.

    Jacques Lemaire est venu de la Floride pour assister aux funérailles de l’épouse de Mario Tremblay dans le Vieux-Terrebonne.

  • MIKE RIBEIRO a fêté ses 35 ans atteignant le cap des 700 points. C’est lui qui a marqué le but de la victoire contre les Rangers, samedi soir.
  • FERNAND FAUCHER, vétéran golfeur de North Hatley, et MORT dimanche soir à l’âge de 83 ans. Souffrant d’un cancer du cerveau, il a terminé ses jours à la maison AUBE-LUMIÈRE de Sherbrooke. Mes plus sincères condoléances à sa conjointe VIVIAN et à ses quatre enfants.
  • L’Australien JASON DAY a gagné le tournoi de Torrey Pines au deuxième trou de prolongation. Il a profité d’une maladresse de J.B. HOLMES qui a dû se contenter d’une normale au 72e trou après avoir joué à court du vert. Jason Day a le potentiel pour gagner un tournoi majeur dès cette année.
  • ALAIN CHAINEY, Richard Blanchette et Serge Ratté ont participé aux retrouvailles des VULKINS DE VICTORIAVILLE (Collégial AAA). Ils en ont profité pour renouer avec PIERRE DION, président de TVA, Marc Bombardier, Mike Fafard, Noël Dubuc, Éric Lebel, Mario Doré, François Lapointe, Roland Boivin et plusieurs autres.
  • ÉRIC DESJARDINS sera intronisé au Panthéon des FLYERS le 19 février.
  • LADY GAGA a chanté en duo avec TONY BENNETT lors du spectacle des Grammy Awards
  • JIMMY ALLEN était content de revoir le grand GILLES LAPERRIÈRE et de jaser de hockey avec lui dans un resto-bar de Rouyn-Noranda. Le grand Lap est tout un personnage!
  • PATRIK ELIAS, des Devils, est entré dans le club des 400 buts.
  • GEORGES GUILBAULT n’oubliera jamais les trois années où il a été le coéquipier de GILLES MAROTTE et de JOHNNY LÉVESQUE chez les Bruins de VICTORIAVILLE. Georges a été impliqué dans un carambolage sur l’autoroute 20, dimanche. Son véhicule est endommagé, mais il n’a pas été blessé.
  • Me DENIS PARÉ sera président d’honneur du 23e tournoi midget et junior de FLEURIMONT. La compétition débutera mercredi sous la gouverne de DANIEL PROVOST. Avant les finales, le 22 février, le trophée Jean-Arel sera remis à STÉPHANE WAITE, du Canadien, pour son implication dans le hockey au fil des ans.

Le mot d’humour

Léo Bourgault, de Saint-Lambert: «Parfois, je panique et je pense qu’il y a un fou dans la maison. Puis, je regarde dans le miroir et je réalise que c’est moi!»