Mario Brisebois prend du mieux

LAVAL— Je rentre tout juste de l’hôpital Juif de Montréal où j’ai fini par trouver mon grand ami Mario Brisebois dans une chambre du septième étage.

Il y a une dizaine de jours, le vétéran journaliste a été foudroyé par une grave pneumonie et transporté d’urgence à l’hôpital où il a été rapidement assigné au département des soins intensifs.

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Le vétéran journaliste Mario Brisebois est hospitalisé à l’hôpital Juif de Montréal où il se remet lentement d’une grave pneumonie. (Photo Tennis Canada)

Mario a passé une semaine sous le respirateur artificiel, ce qui lui fait dire à la blague: «C’est comme si j’avais eu trois Titleist dans la gorge!»

Il prend du mieux, mais il est encore très faible et la période de récupération sera longue. Il garde toutefois espoir d’être de retour à la maison pour la fête de Noël.

«Le personnel de l’hôpital Juif est formidable, ajoute-t-il. Les gens sont gentils et très dévoués. Je suis chanceux dans ma malchance».

L’ancien caddie de Jocelyne Bourassa compte sur l’appui indéfectible des trois femmes de sa vie: sa conjointe Nicole Delorme, ses filles Andréanne et Catherine. Elles sont là jour et nuit pour l’aider à traverser cette dure épreuve.

Un peu avant que je quitte l’hôpital, il m’a dit: «On vieillit, tu sais. On a eu beaucoup de stress durant les trois ou quatre dernières années».

En effet, Jean-Maurice!

Sur la porte de sa chambre, il y a trois chiffres 7. C’est très bon signe.