Le club Olympic nous réserve de grandes surprises

S’il y a un endroit où je voudrais être en fin de semaine, c’est au club Olympic de San Francisco pour assister en personne au 112e Omnium des Etats-Unis.

Heureusement, il y a la télé HD pour me consoler. Les images sont si claires que j’ai parfois l’impression d’être sur place.

Au moment d’écrire ces lignes, Tiger Woods est sur le point d’amorcer sa troisième ronde et il est largement favori pour remporter la victoire, mais il se passera bien des choses d’ici dimanche soir.

Le club Olympic a accueilli quatre fois l’Omnium des Etats-Unis et il a été le théâtre de grandes surprises.

Billy Casper

Billy Casper a profité des largesses d'Arnold Palmer en fin de tournoi et il a triomphé au club Olympic de San Francisco en 1966.

En 1955, Jack Fleck, connu de son père et de sa mère, a étonné tout le monde en venant à bout du légendaire Ben Hogan.

En 1966, Arnold Palmer se dirigeait tout droit vers une victoire facile, mais il s’est effondré en fin de tournoi. Il a été rattrapé par Billy Casper, un magicien avec le fer droit, et battu en prolongation, le lendemain.

En 1987, Tom Watson était le favori de la foule, mais c’est Scott Simpson, alors très peu connu, qui s’est sauvé avec le trophée.

En 1998, Payne Stewart a dû s’incliner devant un jeune joueur du nom de Lee Janzen. Stewart s’est racheté l’année suivante à Pinehurst, puis il a perdu la vie dans un accident d’avion.

Il faut savoir que le club Olympic n’est pas un terrain de golf comme les autres. Il n’y a que deux normales cinq (le 16e et le 17e trou) et il faut être capable de «manoeuvrer la balle» pour éviter les embûches.

«Ce parcours est plus exigeant que Pebble Beach, a dit Graeme McDowell, gagnant du U.S. Open en 2010. Les options sont moins nombreuses et il faut réussir plus de «gros coups» si on veut avoir du succès».

Jack Nicklaus, qui a participé une quarantaine de fois à ce fameux tournoi, répète à qui veut l’entendre que c’est le golfeur qui doit s’adapter aux différentes conditions de jeu. Le terrain est là et il faut vivre avec. Good luck, Charlie!

EN MARGE DU TOURNOI

  • NOTAH BEGAY, ex-coéquipier de Tiger Woods à l’Université Stanford, est d’avis que son ami est prêt à gagner un autre tournoi majeur parce qu’il a retrouvé sa CONFIANCE et le contrôle de son jeu.
  • RETIEF GOOSEN, double vainqueur du U.S. Open, a dû réussir des birdies sur les trois derniers trous pour éviter la coupure, vendredi.
  • Les déboires de RORY McILROY continuent de faire jaser. Le jeune homme a raté la coupure dans quatre de ses cinq derniers tournois. C’est quasiment incroyable.
  • LUKE DONALD a beau être numéro mondial, il semble incapable de se faire justice dans les événements majeurs. Il a lui aussi été éliminé avant les rondes du week-end.
  • PHIL MICKELSON ne joue pas bien du tout depuis quelques mois. Il réussit encore des coups d’éclat, mais ses erreurs sont beaucoup trop nombreuses.
  • La dernière victoire de TIGER WOODS dans un tournoi majeur remonte à l’été 2008. Jouant presque sur une seule jambe, il avait alors vaincu ROCCO MEDIATE dans un duel très enlevant à Torrey Pines.
  • Selon JOHNNY MILLER, ceux qui peuvent atteindre les verts avec des balles hautes sont nettement avantagés. C’est notamment le cas des JIM FURYK, David Toms et Tiger Woods.
  • MICHAEL ALLEN, membre du Champions Tour, a réalisé un rêve en se qualifiant pour l’Open. Il est originaire de San Francisco et il a joué environ 2000 fois sur les allées du club Olympic.
  • La région de SAN FRANCISCO a produit de grands champions au fil des ans. Dans le groupe, il y a KEN VENTURI, Johnny Miller, George Archer, Bob Rosburg et JULI INKSTER, gagnante de sept tournois majeurs à la LPGA. Aucun d’eux n’est cependant aussi célèbre que le grand JOE DiMAGGIO, ancien joueur étoile des Yankees.
  • Le club Olympic est renommé pour ses BILLBURGERS. C’est un mélange de hot-dog et de hamburger. À la télé, ça semble succulent.

Gerry Piette était venu pour un an

ROUYN-NORANDA– En ce deuxième dimanche de juin, il fait un temps béni des dieux et je roule gaiement entre l’Estrie et l’Abitibi au volant de ma belle Lexus usagée. Le soleil éblouissant semble annoncer le retour de la saison estivale. C’est pas trop tôt!

Il n’y a pas de traffic dans le parc des Laurentides et pas un seul flic. Pas surprenant: ils sont tous au centre-ville de Montréal pour le festival de la casserole!

De chaque côté de la vieille 117 (élargie à plusieurs endroits), des millions de sapins, de bouleaux et d’épinettes jouent du coude pour nous rappeler l’immensité de ce pays qu’on aime encore malgré ses hivers trop longs.

Gerry Piette

Gerry Piette (à droite) en est à sa 25e et dernière année comme directeur de golf au club Dallaire. Il pose ici avec le directeur général Yvan Héroux et les deux champions du club, Nicole Héroux et Claude Métivier.

Durant les 30 ou 35 dernières années, j’ai fait des dizaines de voyages en Abitibi pour couvrir toutes sortes de tournois de golf et de hockey, prononcer des conférences ou participer à des levées de fonds.

J’ai même assisté au Rodéo du Camion à Notre-Dame-du-Nord. Toujours avec le même bonheur parce que les gens du Nord-Ouest sont des «vrais de vrais» et qu’ils ont le tour de bien accueillir la visite.

J’ai aussi tissé des liens particuliers avec les gens du Nord-Ouest en signant pendant 15 ans une chronique hebdomadaire qui était publiée dans «La Frontière».

Toujours est-il que ce périple avait pour objectif de revoir Dale Tallon (chronique d’hier) et les copains de Noranda, dont Gerry Piette qui vient d’amorcer sa 25e et dernière saison comme directeur de golf du club Dallaire.

«J’étais venu pour un an et j’ai tellement aimé l’endroit que je suis ici depuis 25 ans, m’a dit l’ami Gerry. Le temps de la retraite approche à grands pas, mais je ne resterai pas à la maison à me croiser les doigts. Je continuerai d’enseigner le golf et de taquiner le doré avant d’aller passer mes hivers en Floride avec ma chère Danielle».

Chaque fois que je pense à Gerry, je le revois sous un immense sombrero dans un bar d’Acupulco. Il était là dans le cadre d’un tournoi Pro-Am organisé par Yvan Vanier. À  2h. du matin, il avait vraiment l’air d’un Mexicain.

Gerry est tout un personnage et je souhaite bonne chance au jeune homme qui sera choisi pour chausser ses souliers.

L’EXPRESS DE NORANDA

  • Avec DALE TALLON comme invité d’honneur, le tournoi annuel de la Fondation du CENTRE HOSPITALIER a produit une recette de 30 500$. CLAUDETTE CARIGNAN était à la tête du comité organisateur.
  • JEAN-CLAUDE LORANGER (Caisse Pop) et CLAUDE MAJOR (Hydro-Québec) étaient les commanditaires majeurs.
  • Le genou gauche de DALE TALLON le fait souffrir et il devra probablement passer sous le bistouri. Après son passage à Noranda, Dale a pris la direction de Pittsburgh afin de participer au tournoi annuel de son ami MARIO LEMIEUX.
  • Tallon croit que le spectacle serait meilleur dans la Ligue nationale si on élargissait les patinoires de CINQ PIEDS.
  • PIT LAFLAMME prépare tranquillement la 49e saison des Citadelles (hockey midget). Il pète le feu avec ses genoux flambant neufs.

    Gille Laperrière

    Gilles Laperrière (à gauche) est surnommé «Monsieur Bingo» à Rouyn-Noranda. Il pose ici avec son ami Norm Connelly, de Kirkland Lake.

  • GILLES LAPERRIÈRE, qui a géré les arénas de Rouyn-Noranda pendant une trentaine d’années, est maintenant surnommé MONSIEUR BINGO. Il se garde  actif et on ne lui donnerait jamais son âge (78 ans). Ça doit être à cause de sa belle Carmen!
  • SUZANNE COUTU et son frère Paul sont maintenant secondés par le jeune JEAN-PHILIPPE BEAULIEU dans l’administration du Motel Alpin.
  • Me LOUIS-CHARLES BÉLANGER n’a pas joué au golf, mais il a participé aux agapes avec les PIERRE MAHEUX, Randy Charchuk, Armand Trudeau, Chesty Clowater, Martin Paquette, Jacquelin Piché, André Couture et Michel Fortin.
  • Le jeune LUDOVIC BOURDAGES agissait comme animateur.
  • LINDA CLICHE, excellente golfeuse, est la darling de Mont-Brun!
  • BRIGITTE TOULOUSE et sa soeur (dont j’oublie le prénom) ont participé grandement au succès de la soirée.
  • JEAN-CLAUDE LORANGER, directeur général de la Caisse Pop, est aussi président de la Chambre de Commerce. Il se réjouit de la situation économique dans la région.
  • Une chance qu’il ventait car le MERCURE a grimpé jusqu’à 36 degrés Celsius. Dale Tallon devait se penser en Floride!
  • L’ex-commentateur sportif BERNARD DUCHESNEAU est maintenant courtier immobilier avec le groupe de Wendy Lachapelle. Il a participé au tournoi de la Fondation hospitalière avec ANDRÉ PHILIPPON, François Cotnoir et Marcel Maheux. «Nos pointages ne sont pas pour publication!», a dit Duchesneau.
  • NORM CONNELLY et sa femme Germaine ont fait le voyage depuis Kirkland Lake. Norm a fondu comme neige au soleil en prenant de longues marches dans les rues de sa ville d’adoption. Il est encore solide à 83 ans.
  • MEL CASEY profite d’une retraite bien mérité après une carrière de 40 ans comme professionnel de golf. Il a travaillé au club Noranda pendant 30 ans et à London, Ontario, pendant 10 ans. Son fils SCOTT est professeur de golf à Mont-Tremblant.
  • Le neurologue MARC NEVEU est un ex-défenseur des Citadelles.
  • GHISLAIN BEAULIEU, maniaque de pêche, revenait d’une excursion au lac Simard (Témiscamingue) avec une cinquantaine de sportifs de la région.
  • Le record du club DALLAIRE est de 64 en compétition. Il a été établi par le gaucher DAVE LÉVESQUE, l’an passé.
  • D’autres échos de mon voyage dans le Nord-Ouest dans une prochaine chronique.
  • LE MOT D’HUMOUR

    Le monsieur dévore un livre sur les 101 positions au lit. Malheureusement pour lui, sa femme préfère lire un autre bouquin sur les 102 excuses!

Woods rejoint Nicklaus avec un coup miracle

Tiger Woods affichait son sourire de champion quand il a quitté le 18e vert pour accepter les félicitations du grand Jack Nicklaus, héros de son enfance, dimanche après-midi.

Un coup d’approche miraculeux au 16e, dans le genre de celui qu’il a réussi à Augusta en 2005, et un autre birdie au dernier trou lui ont permis de jouer 67 et de remporter sa cinquième victoire dans le tournoi Memorial.

Tiger Woods

Tiger Woods était fou de joie après avoir gagné le tournoi Memorial à Muirfield Village. C'était sa cinquième victoire dans le tournoi de Jack Nicklaus et la 73e de sa carrière. Ça promet pour le prochain Omnium des Etats-Unis à San Francisco.

C’était la 73e victoire de sa carrière et il rejoignait ainsi Nicklaus au deuxième rang dans le grand livre de la PGA. Ils ne sont devancés que par le regretté Sam Snead qui revendique 82 triomphes. Derrière Tiger et Jack, on retrouve deux autres géants du golf: Ben Hogan (64 victoires) et Arnold Palmer (62).

Quand on lui a demandé si cette victoire était vraiment particulière, Woods a répondu: «Je suis évidemment content de rejoindre Jack pour le total de victoires. À 36 ans, je pense que ce n’est pas si mauvais! Je suis fier de ce que j’ai accompli depuis le début de ma carrière et je crois avoir plusieurs autres belles années devant moi».

Woods a surtout aimé la façon dont il a frappé la balle durant toute la ronde finale. Il jouait avec confiance. «J’ai aussi calé quelques coups roulés et je pense que c’est bon signe pour le prochain Omnium des Etats-Unis à San Francisco», a-t-il ajouté.

Après ses problèmes de santé et le scandale sexuel qui a éclaboussé sa vie personnelle, Woods semble sur le point de relancer sa carrière. Cette victoire dans le tournoi de son ami Nicklaus a fait plaisir à des millions de téléspectateurs.

Sans rien leur enlever, ce n’est pas avec Jason Dufner, Spencer Levin ou Rory Sabbatini qu’on va faire grimper les cotes d’écoute. Le golf a encore besoin de Tiger pour assurer sa popularité.

À San Francisco, Woods sera en quête d’une 15e victoire dans les tournois majeurs. Il lui en manque quatre pour égaler la marque de Nicklaus. Ce chiffre 18 signifie davantage que tous les millions qu’il a pu empocher depuis qu’il joue au golf.

On a aussi hâte de voir si le jeune Rory McIlroy pourra se ressaisir après avoir raté la coupure à trois reprises durant les dernières semaines. Il sera le champion défendant à San Francisco.

 

 

Au Royal Bromont, on déroule pour vous le tapis vert

Daniel Talbot, qui roule sa bosse dans le golf depuis près de 50 ans, a été tellement impressionné par la qualité du parcours Royal Bromont qu’il a senti le besoin d’écrire une lettre au propriétaire Gérald Allaire pour lui offrir ses plus sincères félicitations.

«Ce parcours se compare avantageusement à tout ce que nous avons au Québec, y compris le club Royal Montréal, disait Talbot avant de participer au Pro-Am des Célébrités, vendredi après-midi. Non seulement les verts sont absolument impeccables, mais il n’y a rien à redire sur l’entretien général des lieux. Bravo à Gérald, au surintendant Donald Madore et à toute l’équipe».

Royal Bromont

La chic pavillon du club Royal Bromont surplombe un parcours de golf de toute beauté. Dirigé par Gérald Allaire, le club fête son 20e anniversaire de fondation.

Quelques minutes après avoir jasé avec Daniel, j’ai sauté dans une voiturette et j’ai fait le tour du jardin pour m’apercevoir qu’il avait entièrement raison. Si vous voulez respirer l’air pur de la campagne et jouer sur un vrai parcours de championnat, n’hésitez pas à emprunter l’autoroute 10 en direction de la station de ski Bromont. Il ne vous restera plus qu’à suivre les indications et vous en aurez pour votre argent.

Tous les trous vous proposent un défi intéressant, mais j’ai un faible pour le 5e, le 11e et le 16e trous. Il s’agit de trois normales 5 qui exigent beaucoup de précision si on ne veut pas se retrouver dans l’une ou l’autre des nombreuses fosses de sable. Le 16e est ce qu’on appelle le «trou signature». Pour atteindre la cible, il faut frapper la balle en hauteur afin d’éviter le large ravin et la grande fosse de sable qui protègent l’entrée au vert.

Il y a aussi le 18e trou qui peut vous causer de sérieux ennuis avant de remiser vos bâtons dans le coffre-arrière de la voiture. Si vous frappez la balle à gauche de l’allée, vous avez de fortes chances de terminer la journée avec un double ou un triple-bogey.

Pour souligner son 20e anniversaire de fondation, le Royal Bromont se fait un devoir de respecter sa devise et de dérouler pour vous le tapis vert. On vous propose des forfaits incluant, le golf, la voiturette et un excellent repas. Pour tout savoir, il suffit de téléphoner au 1-888-281-0017 ou de cliquer sur l’adresse suivante: golf@royalbromont.com

LES ÉCHOS DU TOURNOI

  • Ce premier tournoi Pro-Am avait pour objectif de venir en aide à OPÉRATION ENFANT SOLEIL et au programme GOLF-ÉTUDES de la PGA du Québec. Parmi les professionnels présents, il y avait SERGE THIVIERGE, Daniel Talbot, Serge Bernier, Jean Laforce, Alain Trudeau, JÉRÔME BLAIS, Billy Houle, Vincent Dumouchel, Jason Morin, Mathieu Rivard, PHILIPPE MONGEAU, Denis Girard, Francis Tanguay, Marc-André Roy, Louis-Pierre Godin, Alexandre Tremblay, Justin Berthiaume et ÉRIC LAPORTE, capitaine du circuit provincial.

    Isabelle Charest

    Isabelle Charest sera ambassadrice des athlètes canadiens durant les Jeux olympiques de Londres. Elle aura son quartier général à Trafalgar Square.

  • ISABELLE CHAREST, ex-championne de patinage de vitesse sur courte piste, était sur place avec son joueur de football préféré, le grand STEVE CHARBONNEAU. Le jeune couple s’est installé dans la montagne de Bromont avec ses deux enfants. Isabelle sera AMBASSADRICE des athlètes canadiens aux Jeux olympiques de LONDRES. Elle aura son quartier général à Trafalgar Square. Quant à Steve, il planche sur un portail d’entraînement.
  • ÉRIC LUCAS, président d’honneur de la journée, formait un quatuor avec GÉRALD ALLAIRE, Denis Messier et Mathieu Rivard. Lucas est porte-parole pour InterBox et pour les restaurants La Cage aux Sports. Il est aussi propriétaire d’un bar laitier à MAGOG avec sa belle Marie-Claude.
  • STÉPHAN LEBEAU, ancien joueur étoile des Cataractes, n’a pu assister au tournoi de la coupe Memorial, mais il est très content pour les FIDÈLES PARTISANS de l’équipe mauricienne.
  • SERGE THIVIERGE, le petit tigre d’Alma, est de retour sur le circuit provincial après avoir été tenu à l’écart du jeu pendant deux ans à cause d’un violent mal de dos. À 56 ans, il se croit encore capable de rivaliser avec les plus jeunes.
  • DANIEL TALBOT enseigne le golf au Village olympique avec son ami ROGER BOUCHARD, le vieux guru de Sainte-Adèle.
  • ÉRIC LAPOINTE, ancien porteur de ballon des Alouettes, en est seulement à sa quatrième saison comme golfeur. Il est gaucher naturel, mais il a appris à jouer de la droite. Il adore son nouveau sport.

    Chantal Machabée

    Chantal Machabée sera chef d'antenne à RDS durant les Jeux olympiques de Londres.

  • CHANTAL MACHABÉE profite de vacances bien méritées avant d’agir comme chef d’antenne durant les JEUX OLYMPIQUES. Elle a déjà hâte de s’envoler pour l’Angleterre.
  • DANIEL MELANÇON, de TVA, frappe la balle comme un pro.
  • Le jeune ALEXIS MONTAMBAULT-TRUDELLE, du Cegep de Sherbrooke, accueillait les golfeurs au tertre de départ du 17e trou pour le concours «Battez le pro».
  • STÉPHANE BÉLANGER, de Granby, est le professionnel du Royal Bromont depuis sa fondation. Il dirige l’Académie de golf en compagnie du vétéran PIERRE DUGAS.
  • JEAN LAFORCE ne change pas. Il pesait 145 livres à l’âge de 13 ans et il affiche encore le même poids.
  • SYLVAIN LEFEBVRE, de l’Avalanche du Colorado, le comédien JEAN-MICHEL ANCTIL, les chanteurs MARTIN LÉON et LOUIS-JEAN CORMIER, l’humoriste MARIO TESSIER et le directeur musical DAVID LAFLÈCHE étaient aussi de la fête, de même que PIERRE-ALEXANDRE PARENTEAU, des Islanders.

LE MOT D’HUMOUR

«Chérie, je t’ai dit que je t’aimais plus que le hockey, mais c’était pendant le lock-out!»