Coupe Ryder: égalité 2-2

Les champions d’Europe et des Etats-Unis ont divisé les honneurs des quatre premiers matchs de la coupe Ryder, vendredi matin.

Phil Mickelson et Keegan Bradley ont d’abord eu raison de Luke Donald dans la compétition en coups alternatifs (chacun son tour).

rose

Justin Rose a réussi le coup de la victoire dans le match contre Tiger Woods et Steve Stricker. C’est l’égalité 2-2 après le premier bloc de compétition de la coupe Ryder.

Zach Johnson et Jason Dufner ont causé une certaine surprise en disposant de Lee Westwood et de Francesco Molinari.

Le numéro un mondial Rory McIlroy et son compatriote Graeme McDowell ont eu besoin de tout leur petit change pour venir à bout du duo formé de Jim Furyk et de Brandt Snedeker.

Enfin, Justin Rose et Ian Poulter ont uni leurs efforts pour vaincre Tiger Woods et Steve Stricker. C’est Rose qui a mis fin au match avec un coup d’approche presque parfait au 17e trou. Poulter a pour sa part réussi un roulé très important au 16e.

Les matchs «deux balles, meilleure balle» débutent à l’instant. Davis Love, capitaine des Américains, a choisi de réunir à nouveau Woods et Stricker. Dans le camp adverse, Jose Maria Olazabal en a fait autant en retournant McDowell et McIlroy dans le feu de l’action.

À bientôt.

Il n’y a rien au monde pour battre la coupe Ryder

S’il y a un endroit où j’aimerais être en fin de semaine, c’est bien au club Medinah de Chicago où se déroule le 39e tournoi de la coupe Ryder.

J’ai eu trois fois la chance de vivre l’expérience et je vous assure qu’il s’agit d’un événement très particulier à cause de la rivalité entre les deux clans et de l’ambiance qui règne dans les gradins pendant les trois jours de compétition.

Je vois encore les Européens célébrer allègrement leurs victoires éclatantes à Détroit et à Dublin (en 2004 et 2006) et les Américains en faire autant après leur triomphe inattendu au Kentucky en 2008.

McDowell

L’Irlandais Graeme McDowell sera un joueur à surveiller dans le camp des Européens. C’est lui qui a marqué le point gagnant au Celtic Manor en 2010.

La dernière épreuve a eu lieu au Pays de Galles en 2010 et c’est l’Irlandais Graeme McDowell qui a réussi le coup gagnant sur le 17e vert, procurant ainsi à son équipe une sixième victoire dans les huit derniers tournois.

«Je suis d’avis que le passé n’a plus aucune importance, a dit McDowell à son arrivée à Chicago. Je pense réellement que ce tournoi n’en est pas un comme les autres. Je n’ai jamais été aussi nerveux que je l’ai été en coupe Ryder. On me parle davantage de mon roulé gagnant au Celtic Manor que de ma victoire à l’Open des Etats-Unis quelques mois auparavant. Ça veut tout dire».

Un peu d’histoire

Colin Montgomerie, huit fois champion d’Europe, n’a jamais pu gagner un tournoi majeur. En revanche, il a été un joueur dominant en coupe Ryder et il n’échangerait pour rien au monde ses succès en équipe. Il était aussi capitaine des Européens il y a deux ans.

seve

Le nom de Seve Ballesteros est associé pour toujours au tournoi de la coupe Ryder. Son entrée en scène a tout changé au début des années 1980. Il avait tout pour lui: talent, charisme et leadership.

Le tournoi existe depuis 1927 et on a assisté à une très nette domination des Etats-Unis jusqu’à ce que Jack Nicklaus suggère que tous les pays d’Europe participent à la compétition et pas seulement ceux du Royaume-Uni. C’était au début des années 1980. On a alors vu apparaître les Seve Ballesteros, Ian Woosnam, Bernhard Langer, Jose Maria Olazabal, Nick Faldo et Sam Torrance. Les Européens étaient désormais en mesure de livrer bataille à armes égales et on a assisté à des luttes épiques, dont «la guerre près de la mer» à Kiawah Island, en 1991, le duel de Valderrama (1997) et celui de Brookline (1999).

Depuis 1983, il n’est pas exagéré de dire que le tournoi soulève les passions des deux côtés de l’Atlantique.

Une seule recrue

Avant le début du tournoi à Medinah, les 24 joueurs ont défilé dans la salle de presse pour offrir leurs commentaires. Dans l’ensemble, ils ont répété sensiblement les mêmes choses: la foule sera survoltée, l’ambiance sera électrisante, chaque point sera important et c’est le jeu sur les verts qui déterminera l’issue de la compétition.

Au golf, on a beau frapper la balle à 300 verges, c’est toujours le «putter» qui fait la différence.

Afin d’offrir un spectacle haut en couleurs, Davis Love III, capitaine des Américains, a choisi un parcours d’environ 7200 verges où les golfeurs ne seront pas importunés par l’herbe longue. On peut donc s’attendre à de nombreux birdies et à quelques coups d’approche au fond de la coupe.

Surveillez bien le 15e trou, une normale quatre d’environ 310 verges que les champions de la PGA pourront atteindre sur le coup de départ.

Sur papier, les Européens sont nettement avantagés parce qu’ils ont une seule recrue dans l’alignement: le Belge Nicolas Colsaerts. Ils ont aussi une équipe d’entraîneurs chevronnés: Jose Maria Olazabal (capitaine), Paul McGinley, Darren Clarke, Thomas Björn et Miguel Angel Jimenez.

Le 13e joueur (la foule) sera évidemment du côté des Américains. Reste à voir si Tiger Woods et Phil Mickelson seront à leur mieux. Ils n’ont jamais rien cassé en coupe Ryder.

Les épreuves en équipe (deux contre deux) ont lieu vendredi et samedi. Ils seront suivis par 12 matchs en simple le dimanche après-midi. Tout un spectacle en perspective!

L’EXPRESS DU VENDREDI

  • Le numéro un mondial RORY McILROY est prêt à faire feu pour les Européens. Entouré de plusieurs vétérans, il se sent en confiance et il jouera les cinq matchs si on a besoin de lui.
  • Les premiers duos à surveiller: McIlroy-McDowell, Rose-Poulter, Furyk-Snedeker, Garcia-Donald et Stricker-Woods.
  • SERGIO GARCIA, zéro en 1000 dans les tournois majeurs, est habituellement à son mieux dans ce genre de compétition.
  • MICHAEL JORDAN, l’ancien roi du basketball, est présent dans l’entourage de l’équipe américaine depuis 1995. Il est en quelque sorte la «mascotte» de l’équipe.
  • MICHEL SAINT-LAURENT, qui n’a jamais compté les heures pour l’avancement du golf au Québec, faisait équipe avec FRANCE ALLARD, Mario Brisebois et Marc Grenier lors du tournoi annuel de GOLF QUÉBEC au club de l’Ile-de-Montréal. La journée était organisée par JEAN-PIERRE BEAULIEU et FRANÇOIS ROY et elle a permis d’amasser plus de 65 000$ pour la relève. GILLES GAUTHIER, président de GG Golf, était l’invité d’honneur. Il y avait aussi DIANE DUNLOP-HÉBERT, présidente de Golf Canada.
  • RICHARD OUELLET, ancien maire de Saint-Simon-de-Rimouski, nous signale que les exploits de son idole JEAN BÉLIVEAU sont relatés en page 1247 dans le Petit Larousse Illustré 2013.
  • DUSTY BAKER, gérant des Reds de Cincinnati, a passé quelques jours à l’hôpital après avoir été victime de battements cardiaques irréguliers.

LE MOT D’HUMOUR

En amour, c’est comme en chirurgie. Il ne faut pas montrer ses outils avant l’opération!

Journée bénie des dieux à Atlantic City

On a dépensé des millions pour revitaliser le centre-ville, mais Atlantic City traîne encore sa mauvaise réputation. Elle ne sera jamais qu’une succursale de Las Vegas et on me dit que les touristes, à moins d’être de fiévreux adeptes de la roulette et du Black Jack, préfèrent pousser un peu plus loin vers Wildwood ou Cape May durant la saison estivale.

Quoi qu’il en soit, à quelques kilomètres des casinos, j’ai découvert dimanche dernier un vieux trésor d’une rare beauté: le Country Club d’Atlantic City.

Atlantic city CC

Le Country Club d’Atlantic City est un bijou de terrain de golf. Depuis le vert du 15e trou, on peut admirer les gratte-ciel et les marécages à perte de vue.

Ce club de golf a été fondé en 1897, il y a exactement 115 ans. S’il a subi quelques modifications au fil des ans, il n’a rien perdu de son charme et de son style classique.

Les parcours les plus anciens sont encore les meilleurs à cause de leur maturité et de leur configuration. C’est le cas du Atlantic City CC où les arbres centenaires respirent l’histoire du golf.

Le simple fait que les allées aient été foulées par de grands champions comme Sam Snead, Babe Zaharias, Johnny McDermott et Arnold Palmer vous sert d’inspiration et ajoute à votre plaisir de jouer. Il y a aussi le vieux pavillon blanc où on a conservé toute la magie du passé. En entrant dans le vestiaire des hommes, on a la curieuse impression de retourner 100 ans en arrière, au début du 20e siècle. En fait, rien n’a changé depuis la dernière visite de Slammin Sam.

Près du 18e vert, on peut voir la cloche qui servait à sonner le départ du dernier wagon en direction de Philadelphie ou de Washington. À plusieurs endroits sur le parcours, la vue est à couper le souffle. Même chose dans la salle à manger.

birdie

C’est au Country Club d’Atlantic City que le terme «birdie» a été utilisé pour la première fois en 1903. On a installé une plaque sur une roche pour nous le rappeler.

Le Country Club d’Atlantic City, là où le mot «birdie» a été lancé pour la première fois en 1903, a si bien vieilli qu’il a été choisi souvent parmi les 100 meilleurs parcours en Amérique du Nord. Si vous passez par là, ne ratez surtout pas la chance d’aller voir ça. Un bijou.

Si ce n’était pas si loin, j’entrerais membre demain matin.

LA JAVA DU JEUDI

  • Heureux d’apprendre qu’ALEXANDRE DESPATIE a décidé de poursuivre sa carrière. Il aura tout son temps pour faire son cinéma!
  • LES ÉCHOS DU HOCKEY SENIOR: Le vétéran BOBBY MAZEROLLE poursuivra sa carrière avec les Marquis de JONQUIÈRE. Ces derniers ont aussi embauché Marc-Olivier D’Amour et Dominic Léveillé… YANNICK TREMBLAY et MATHIEU DUMAS ne savent toujours pas où ils joueront cet hiver. Leurs droits appartiennent à l’équipe de Rivière-du-Loup… Le contrat de cinq ans entre la BRASSERIE MOLSON et le circuit Godin expirera à la fin de la prochaine campagne… L’ex-gardien de but JEAN-FRANÇOIS LABBÉ est le nouvel entraîneur du Caron & Guay et Trois-Rivières… Les River Kings de CORNWALL auront une équipe lourde et puissante à l’attaque. Le calendrier a été écourté de 48 à 40 matchs.

    antoine et natalie

    Antoine L’Estage et sa copilote Nathalie Richard ont enlevé le championnat nord-américain de rallye automobile avec leur troisième place lors du Olympus Rally. Ils ont encore deux épreuves au programme avant la fin de la saison: une en Colombie-Britannique et une autre en Ontario.

  • PATRICK BOUDREAULT, du Country Club de Montréal, a gagné le championnat des joueurs de tournois au Blainvillier. Il a devancé LUC DAO, du club Summerlea, par six coups. ANDRÉ JETTÉ, du club Pinegrove, a triomphé chez les Seniors.
  • Demain, je vous parlerai du fameux tournoi de la COUPE RYDER, un événement qui occupe une place spéciale dans mon coeur et dans mes souvenirs.
  • Il est IRONIQUE qu’on demande à un gars de basketball (Gary Bettman) et à un gars de baseball (Donald Fehr) de régler le conflit qui paralyse le hockey.
  • Les anciens joueurs des PYROS DE SOREL (hockey intermédiaire) se réuniront à la salle Janiber le 22 octobre. Il y aura cependant cinq grands absents: FRANÇOIS DUFAULT, Réjean Massé, Dick Cloutier, Denis Desgagné et Jean Morin.
  • L’usine DOMTAR de Windsor, un fleuron des Cantons de l’Est, fête ses 25 ans sous la direction d’ÉRIC ASHBY. Il faut aussi savoir que la capitale mondiale du papier fin célèbre 150 ans d’histoire. Parmi les sportifs qu’elle a vu grandir, il y a MAURICE BACHAND, Georges Guilbault, Ben Lapierre, Marc Fortier, Duke Doucet, Serge Dubois, Gaétan Pélissier, Réjean Cloutier, Maryse et Annie Perreault.

    pelo

    Gilles Péloquin animera «Deux oeufs, bacon», une nouvelle émission hebdomadaire à la télé communautaire de Magog.

  • PÉLO RIDES AGAIN: Gilles Péloquin animera «Deux oeufs, bacon», une nouvelle émission hebdomadaire à la télé communautaire de MAGOG (Cogeco). La première aura lieu le samedi 29 septembre. Parmi ses collaborateurs, il y aura DANY JACQUES, Luc Chapdelaine, Yves Grandmaison, Michel Breton, Bernard Caza, Daniel Carrière, Joanne Michaud et Vanessa Gendron. L’émission sera présenté HUIT FOIS les samedis et dimanches.
  • GAÉTAN PÉLISSIER, ex-défenseur des Gee Gees d’Ottawa, a adoré son voyage en ITALIE avec sa belle Brigitte. Ils ont visité Rome, Venise et la Toscane. Ne reste plus qu’à régler la facture!
  • Le diable est aux vaches dans l’Association de hockey mineur de SHERBROOKE. Quand est-ce que les jeunes passeront avant l’ego des organisateurs?

LE MOT D’HUMOUR

Le médecin à son patient: «Le soir, laissez vos soucis au pied de votre lit».

Et le patient de répondre: «Je ne peux pas, docteur. Ma femme n’acceptera jamais de dormir par terre!»

Laurence d’Arabie et Robin des Bois

AVALON, New Jersey— Les millions de personnes qui visitent Ocean City, Wildwood et Cape May durant la saison estivale le font d’abord pour se payer du bon temps à la plage ou à la piscine, mais la région offre beaucoup d’autres attraits.

Entre le Jour du Souvenir (Memorial Day) et la fête du Travail, c’est pas moins de 19 millions de visiteurs qui envahissent les villas, les motels, les «Bed & Breakfast» ou les nombreux parcs de camping.

La mer demeure évidemment l’attraction numéro un, mais il y en a pour tous les goûts: pêche, vélo, observation d’oiseaux, visites touristiques, golf, jeux forains, restaurants de fruits de mer, boutiques de toutes sortes et quoi encore.

Le tourisme dans cette région des Etats-Unis est une industrie qui génère cinq milliards de dollars par année. Presque 70 pour cent des visiteurs proviennent du New Jersey, de la Pennsylvanie ou de l’Etat de New York, mais le Québec vient quand même au quatrième rang (16 pour cent) un peu beaucoup à cause de la parité entre le dollar canadien et celui de l’Oncle Sam.

cape may

Les maisons victoriennes attirent des millions de visiteurs dans le petit village de Cape May.

Une étude révèle que les gens aiment tellement la région qu’ils y reviennent dans une proportion de 77 pour cent.

Vous aurez deviné que je n’ai pas visité ce coin de pays pour observer les oiseaux, m’envoyer en l’air dans un bungee ou capturer deux ou trois poissons! J’étais ici pour jouer au golf avec mes deux vieilles branches, visiter la promenade à Wildwood et voir les maisons victoriennes à Cape May.

N’ayez crainte, je vous ferai grâce de mes bons coups comme de mes mésaventures sur les verts. Après 60 ans, les espoirs dépassent généralement les réalisations… et pas seulement au golf!

Je peux seulement vous dire que j’ai visité suffisamment de fosses de sable pour avoir eu l’impression de remplacer Peter O’Toole dans le film Laurence d’Arabie! Sur une petite normale 5 à Wildwood, j’ai passé assez de temps derrière les arbres pour en venir à croire que j’étais  Robin des Bois ou le frère Tuck. Illusion ou dédoublement de personnalité? Il faudrait plutôt parler d’un manque de talent.

Finalement, ça n’a aucune importance. Comme le répète souvent mon ami Bob, du club Royal Estrie: «Ce n’est qu’un jeu!»

Je suis surtout content d’avoir découvert cinq nouveaux parcours et en particulier le Country Club d’Atlantic City, une véritable merveille. J’y reviendrai dans une prochaine chronique.

Je profite de l’occasion pour remercier Diane Wieland et Deborah Bass, de l’Office du tourisme du compté de Cape May, de même que John Allison, responsable des ventes et du marketing à l’hôtel Golden Inn, pour leur accueil chaleureux. Ils ont tout fait pour rendre notre visite très agréable. Pour toutes sortes de bonnes raisons, leur coin de pays est vraiment un endroit à découvrir.

LES ÉCHOS DU LUNDI

  • Qui aurait parié sur BRANDT SNEDEKER pour gagner la coupe FedEx? C’est pourtant ce qu’il a fait en retranchant huit coups à la normale durant les deux dernières journées. Âgé de 31 ans, Snedeker est un gars très «terre à terre» et un fier compétiteur. C’est évidemment la plus grosse victoire de sa carrière. En plus de l’enrichir de 11,4 millions de dollars, elle lui procure une exemption de cinq ans sur le circuit de la PGA. Sa vie ne sera jamais plus la même.

    snedeker

    Brandt Snedeker a joué avec brio pour enlever les honneurs de la coupe FedEx à Atlanta. Une victoire très payante: 11,4 millions de dollars et une exemption de cinq ans sur le circuit de la PGA.

  • TIGER WOODS a connu une autre fin de tournoi désastreuse et le jeune RORY McILROY n’a guère fait mieux.
  • Cette semaine, tous les regards seront tournés vers Chicago pour la présentation du tournoi de la COUPE RYDER. On s’en reparle.
  • L’ex-collègue PIERRE LECOURS a été victime d’un malaise cardiaque dans un terrain de stationnement de LAVALTRIE. Heureusement, on s’est vite porté à son secours. Il devra maintenant vivre avec un stimulateur cardiaque, mais le pire est passé. Il tient à remercier ses proches, de même que le personnel médical du Centre Le Gardeur et de l’Hôtel-Dieu de Montréal.
  • STÉPHANE ROBIDAS, des Stars de Dallas, a raison de dire que les propriétaires de la Ligue nationale ne seront jamais satisfaits. Ils demandent aux joueurs de se sacrifier pour corriger leur PROPRES ERREURS et leur manque de discipline.
  • MARC GIROUARD a enlevé le championnat Senior de la PGA du Québec avec des rondes de 68 et 69 sur le vieux parcours de SAINT-JEAN. C’est JEAN MORIN qui a triomphé chez les Super Seniors avec des cartes de 77 et 72. Jean était surtout content de revoir GERRY PIETTE et ANDRÉ HARVEY, des amis de longue date.
  • CHIPPER JONES, qui a porté fièrement les couleurs des Braves d’Atlanta durant 19 saisons, a profité de son dernier voyage à PHILADELPHIE pour lancer quelques flèches aux partisans des Phillies. Il garde de bons souvenirs de la ville de l’Amour fraternel et des clubs de golf MERION et PINE VALLEY, deux des meilleurs en Amérique.

    chipper

    Le joueur de 3e but Chipper Jones porté fièrement les couleurs des Braves d’Atlanta pendant 19 saisons.

  • Samedi après-midi, malgré le vent violent qui venait de la mer, on a organisé un MARIAGE SUR LA PLAGE près du Golden Inn. Tout le monde était sur son 36. Je me pose une petite question:  les mariages sur la plage durent-ils plus longtemps?
  • L’élan de BUBBA WATSON est un mélange de John Daly et de Michael Jackson!
  • MELKY CABRERA, suspendu pendant 50 matchs pour avoir utilisé des produits susceptibles d’améliorer ses performances sur le losange, a posé le bon geste en se «disqualifiant lui-même» de la course au championnat des frappeurs dans la Ligue nationale.
  • GIO GONZALEZ est le premier lanceur des Nationals à atteindre le cap des 20 victoires. Il est aussi le premier lanceur d’une équipe de Washington à réussir 200 retraits sur des prises depuis WALTER JOHNSON en 1916.
  • Les Phillies songent sérieusement à utiliser CHASE UTLEY au troisième but la saison prochaine. C’est un certain FREDDY GALVIS qui le remplacerait au deuxième coussin.

LE MOT D’HUMOUR

Dean Martin: «Je ne bois jamais d’eau. Savez-vous seulement ce que les poissons y font?»