Bergevin en direct

Marc Bergevin a revêtu son plus bel habit pour répondre aux questions des journalistes suite au congédiement de son ami Michel Therrien et à l’embauche de Claude Julien.

Voici en gros ce qu’il avait à dire:

  • «Ça n’a pas été facile de remercier Michel. Nous avons travaillé ensemble pendant 5 ans. Mike est un fighter. Il a travaillé fort pour obtenir tout ce qu’il a. Cette décision n’a rien à avoir avec lui ou avec moi. Cette décision a été prise pour le bien de l’équipe».

    Marc Bergevin en attend plus de son équipe et il considère Claude Julien comme une superstar dans son domaine.

  • «Oui, Carey Price a connu des difficultés depuis un certain temps et je m’attends à plus de sa part. Je le considère comme le meilleur et je suis sûr qu’il va rebondir».
  • «Il faut trouver une façon de replacer l’équipe sur les rails et Claude Julien est les plus qualifié pour le faire. Regardez ce qu’il a fait à Boston. Il est un superstar dans son domaine. Il a de la crédibilité, de l’expérience et il est respecté par tout le monde. Avez-vous entendu les propos de Patrice Bergeron à son sujet? L’équipe lui appartient à partir de maintenant».
  • «Est-ce que nous allons faire un échange d’ici la date limite? Je ne sais pas. Ça dépend toujours de qui est disponible et à quel prix. Il n’est pas question que j’échange les meilleurs «prospects» de l’organisation. Il y en a moins que 5».
  • «J’ai fait beaucoup de choses pour améliorer l’équipe. En bout de ligne, la balle aboutit toujours dans mon camp. Je pense que nous avons les éléments pour avoir du succès. La ligne est mince entre la victoire et la défaite. Il faut que nous jouions de façon plus responsable».

CONTRAT DE CINQ ANS

En début d’après-midi, c’était au tour de Claude Julien de répondre aux questions des journalistes au téléphone depuis sa résidence de Boston. Après avoir confirmé qu’il avait signé un contrat de cinq ans avec sa nouvelle équipe, il a déclaré:

  • «J’ai été congédié il y a environ une semaine et je sais très bien comment Michel Therrien se sent à l’heure actuelle. Je sympathise avec lui. Michel est un bon coach et il a fait du bon travail à Montréal. Je lui souhaite d’avoir une autre chance de faire ses preuves».

    Claude Julien sait très bien qu’il ne pourra pas tout changer du jour au lendemain.

  • «Mon plan initial était d’attendre au printemps avant de réorienter ma carrière, mais l’offre du Canadien a tout changé. J’adore les défis. J’ai grandi dans l’Outaouais et j’ai longtemps été partisan du CH. J’ai toujours aimé Montréal et l’organisation du Canadien. Leurs partisans sont extraordinaires».
  • «Je dois discuter avec les entraîneurs-adjoints avant de décider quoi que ce soit. Je ne peux pas tout changer du jour au lendemain. C’est impossible. Souvent, de petits ajustements peuvent faire une grande différence. Il y a beaucoup de talent chez le Canadien, à commencer par le gardien de but. Nous allons travailler tous ensemble pour retrouver le chemin de la victoire».
  • «J’ai vécu 10 belles années à Boston et ça ne me donnerait rien d’être amer. Je respecte leur décision et j’ai le plus grand respect pour mes anciens joueurs. Je suis très heureux d’aboutir à nouveau dans un gros marché de hockey. C’était la situation idéale. Je doute que les Bruins auraient pu m’empêcher d’aller à Montréal, mais j’apprécie qu’ils aient donné leur accord».
  • «J’ai beaucoup appris en travaillant avec les Mike Babcock, Joel Quenneville et Ken Hitchcock. Il faut toujours essayer de s’améliorer. Je sais qu’il y aura de la critique, ça fait partie du métier. Je vais me concentrer sur mon travail. J’ai toujours eu de bonnes relations avec mes joueurs».
  • «Le respect, ça se gagne. Il est important d’avoir des vétérans qui savent transmettre le message aux plus jeunes. Je souhaite diriger une équipe qui joue avec fierté… offensivement et défensivement».
  • «J’espère que mon prochain séjour à Montréal sera aussi long que celui que je viens de vivre à Boston».

 

Bonne chance, mon cher Claude

Quand le message ne passe plus, on change d’entraîneur

Trois fois passera la dernière, la dernière. Trois fois passera, la dernière et restera!

C’était écrit dans le ciel que Michel Therrien vivait sur du temps emprunté. C’est toujours la même histoire. Après un certain temps, le message ne passe plus, l’équipe n’offre plus sa pleine mesure et la solution facile est de congédier l’entraîneur. Comme dans tout bon syndicat: toujours la faute du coach, jamais la faute des joueurs!

Claude Julien a beaucoup d’expérience et il connaît bien le marché de Montréal. On lui souhaite tout le succès possible.

Grâce à son ami Bergevin, Michel Therrien a eu deux fois la chance de diriger l’équipe de son enfance. Ce n’est pas donné à tout le monde. La deuxième fois, il était «mieux équipé» pour faire face à la musique et à la presse montréalaise, mais il n’est jamais facile de contenter des partisans qui n’ont pas vu leur équipe (jadis glorieuse) gagner la coupe depuis bientôt 24 ans.

Il est évident que le courant ne passait plus entre Therrien et ses ouailles. Sinon, les gars auraient beaucoup mieux travaillé qu’ils ne l’ont fait durant les dernières semaines. Les dernières défaites, spécialement celles au Colorado et à Boston, ont signé son arrêt de mort.

Marc Bergevin explique que le temps est venu d’avoir un nouveau souffle, une nouvelle voix et une nouvelle direction. Claude Julien est un homme d’expérience. Il a fait de l’excellent boulot à Boston avec les moyens à sa disposition et un président (Cam Neely) qui n’était pas souvent dans son camp. À l’époque où il avait un meilleur club sous la main, il a même donné une coupe Stanley aux partisans des Bruins. Ce n’est pas rien.

Claude Julien à son arrivée avec le Canadien en 2003. (Photo P.Y. Pelletier)

Il faut s’attendre à ce que son retour derrière le banc du Tricolore ait un effet positif. Les joueurs ont l’habitude de se défoncer pour un nouveau coach… du moins durant un certain temps. C’est sur une longue période qu’on pourra juger si Bergevin a pris la meilleure décision dans les circonstances.

Jusqu’à preuve du contraire, le CH n’a toujours pas de joueur de centre numéro un et l’équipe manque nettement de profondeur pour aspirer aux grands honneurs. En d’autres termes, il manque des morceaux pour compléter le casse-tête. Et les morceaux coûtent cher!

Il faudra aussi que Carey Price retrouve sa confiance et redevienne le gardien de but qui traînait l’équipe sur ses épaules. Il disait récemment que le Canadien avait perdu son identité. À lui de la retrouver!

Pour ce qui est de Michel Therrien, tout le monde se demande ce que l’avenir lui réserve. Fichu métier que celui-là!

UNE PENSÉE POUR CHARLIE HENRY

  • En apprenant le retour de Claude Julien à Montréal, j’ai

    Pat Burns, Alain Vigneault et Claude Julien sont trois anciens élèves de Charlie Henry à Gatineau.

    tout de suite pensé à Charlie Henry, bâtisseur des Olympiques de Gatineau. Qu’est-ce qu’il a à voir là-dedans? Tout simplement que Pat Burns, Alain Vigneault et Claude Julien ont travaillé pour lui avant de diriger le Canadien. Dans le cas de Julien, ce sera deux fois plutôt qu’une. Il faut croire que la recette des Olympiques n’était pas vilaine.

  • Guy Carbonneau, qui a déjà vécu le déception de se faire congédier (par son ancien compagnon de ligne Bob Gainey), ne croit pas que Michel Therrien était à court de mots pour expliquer les récents déboires du Canadien. «Il avait encore plein de mots dans la bouche, mais il ne pouvait pas les laisser sortir!», a-t-il déclaré sur le plateau de L’Antichambre.
  • Max Pacioretty dit que les joueurs du CH se sentent responsables du congédiement de Therrien. J’espère!
  • Claude Julien aurait signé un contrat de long terme avec augmentation de salaire. Il gagnait 3M$ par année à Boston.
  • Michel Therrien se voit montrer la porte au moment où son club occupe le premier rang de sa division. Ça ne s’était pas produit depuis le congédiement de John Paddock par les Sénateurs d’Ottawa en 2008. Claude Julien a subi le même sort au New Jersey en 2007 avant d’aller diriger les Bruins.
  • Les premiers travaux de Claude Julien à Montréal: 1) Stimuler Carey Price et Shea Weber; 2) Améliorer le travail des joueurs en zone défensive (revirements); 3) Relancer le jeu de puissance. Il en aura pour quelques jours!

Entendu à gauche et à droite

  • Einstein a dit un jour: «La folie, c’est de faire toujours la même chose et d’attendre un résultat différent».
  • On assiste au syndrome de la porte tournante.
  • Therrien pour Julien, c’est comme échanger 4 trente sous pour une piastre.
  • Plus ça change, plus c’est pareil.
  • La prochain à partir, c’est Bergevin lui-même.
  • Ça ne fait que commencer, les amis. Heureusement, ça nous fait oublier les tempêtes de neige…

MARDI SOIR DANS LA LNH

  • À Toronto, AUSTON MATTHEWS a inscrit ses 26e et 27e filets de la campagne pour mener les Maple Leafs à un gain facile de 7-1 sur les Islanders. NAZEM KADRI a réussi son 21e et FREDERIK ANDERSEN a bloqué 33 tirs pour mériter sa 100e victoire dans la Ligue nationale.

    Auston Matthews: deux autres buts dans une victoire facile contre les Islanders. Ça lui en fait 27.

  • À Ottawa, ROBIN LEHNER a repoussé 39 rondelles et les Sabres ont vaincu les Sénateurs 3-2. Moulson et Bailey ont marqué pour les visiteurs en 3e période. Les Sabres terminent la saison avec un dossier de 4-0-1 contre l’équipe de GUY BOUCHER.
  • À Edmonton, les Oilers ont mis fin à une série de trois défaites à domicile en battant les Coyotes 5-2. LEON DRAISAITL et OSCAR KLEFBOM ont obtenu un but et deux passes chacun. 20e filet de PATRICK MAROON.
  • À Pittsburgh, le jeune MATT MURRAY a effectué 29 arrêts pour blanchir les Canucks 4-0. EVGENI MALKIN a salué son retour au jeu avec un but et une passe. SID THE KID a récolté une passe pour s’approcher à un seul point du total de 1000.
  • Au Minnesota, JOHN GIBSON a bloqué 37 tirs et les Ducks ont blanchi le Wild 1-0. JOSEPH CRAMAROSSA, un ailier gauche originaire de Toronto, a réussi le seul but du match en première période.

    Patrik Laine: son 3e tour du chapeau.

  • À Winnipeg, la recrue PATRIK LAINE a réussi son 3e tour du chapeau et les Jets ont eu raison des Stars de Dallas par la marque de 5-2. Laine a enregistré 8 de ses 26 buts contre les Stars. MARK SCHEIFELE a récolté trois passes. Benn et Seguin ont répliqué pour les visiteurs.
  • Au New Jersey, les Devils ont défait l’Avalanche 3-2. En vedette: KYLE PALMIERI (but gagnant) et le gardien COREY SCHNEIDER.

Le mot d’humour

Si vous devez subir l’alcootest, enlevez vos lunettes. Ça fait deux verres de moins!

Les anniversaires du 15 février

En passant

  • JAROMIR JAGR, l’homme de fer des Panthers de la Floride, 45 ans.
  • RUSSELL MARTIN, receveur des Blue Jays, 34 ans.
  • JOHNNY CUETO, as lanceur des Giants, 31 ans.
  • BRIAN PROPP, ancien des Flyers, 58 ans.

    Ron Cey, des Dodgers, a frappé 316 circuits et fait compter plus de 1100 points. Il a terminé sa carrière à Chicago et Oakland.

  • SÉBASTIEN BORDELEAU, ancien du CH et des Predators, 42 ans.
  • RON CEY, le «pingouin» des Dodgers, 69 ans.
  • GORDIE HAWORTH, un Grand du Sport à D’Ville, 85 ans.
  • JOE HESKETH, ex-lanceur des Expos, 58 ans.
  • TONY McKEGNEY, ancien des Sabres, 59 ans.
  • RÉJEAN CLOUTIER, ancien des Castors Juniors, 57 ans.
  • BRUCE BELL, ancien des Nordiques, 52 ans.
  • ROBERT SÉVIGNY, de Golf Free Card Canada.
  • BRUNO VACHON, des Expos de Sherbrooke, 44 ans.
  • MARTIN GENDRON, ex-vedette du Laser de Saint-Hyacinthe, 43 ans.
  • LUC DESROSIERS, de Momo Sports, 56 ans.
  • DANIEL POUDRIER, ancien des Nordiques, 53 ans.
  • HÉLÈNE McNICOLL, Marilyne Salois et Patrick Cloutier, de Windsor.
  • MILÈNE ROY, petite-fille de Jean Béliveau, 33 ans.
  • ROB BOYD, ski alpin, 51 ans.
  • GILLES BOISVERT, ex-gardien de but de la Ligue américaine, 84 ans.
  • KEN ANDERSON, ancien des Bengals, 68 ans.
  • BARRY JONES, ancien des Expos, 54 ans.
  • MAURICE AUDET, ex-gérant de l’Auberge des Cantons.
  • ROLAND SARRAZIN, du club L’Épiphanie, 85 ans.
  • BENOÎT BEAUDRY, de Forest Fibers, 49 ans.
  • MARC-ANDRÉ DUSSAULT, ex-golfeur de Milby, 86 ans.

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LINDROS À L’ANTICHAMBRE

  • Petit lundi soir tranquille après une longue séance de pelletage. J’en ai profité pour regarder le documentaire Lindros revisité sur les ondes de RDS. Voici ce que je retiens:
  • Le clan Lindros, en particulier sa maman (Bonnie), détestait souverainement Marcel Aubut et il n’était pas question que le surdoué des Generals d’Oshawa amorce sa carrière dans la Vieille capitale. Les Lindros ont tenu leur bout et Eric est finalement passé aux Flyers dans une méga-transaction impliquant plusieurs joueurs, dont l’excellent Peter Forsberg, et une somme de 15 millions de dollars.

    Eric Lindros a jugé que le moment était venu de mettre cartes sur table et d’expliquer son refus d’aller jouer à Québec au début des années 1990.

  • S’il avait été repêché par le Canadien, l’histoire aurait été différente. Il aurait sauté dans son auto immédiatement pour se rapporter à sa nouvelle équipe.
  • À son apogée, Lindros était un joueur dominant à cause de son talent et de son physique très imposant. Un vrai «bulldozer». Ses succès avec John LeClair et Mikael Renberg lui ont éventuellement ouvert les portes du Temple de la renommée.
  • Encouragé par son épouse, la très jolie Kina Lamarche, Lindros croyait que le temps était venu de mettre cartes sur table et d’exposer sa version des faits. Il l’a fait de son mieux, souvent avec humour, et il veut maintenant passer à une autre étape de sa vie.
  • Invité à participer aux discussions entre Lindros et l’état-major des Nordiques, Guy Lafleur a vite compris que le jeune homme ne jouerait jamais à Québec. Il existait un profond malaise entre les deux clans.
  • Lindros a vécu par l’épée et il a péri par l’épée. Il n’était pas obligé de pratiquer un style de jeu aussi robuste, mais il a choisi de le faire et il a fini par en payer le prix face à des joueurs comme Scott Stevens et Darius Kasparaitis. Ses multiples commotions cérérables l’ont forcé à mettre fin à sa carrière après 14 ans dans la LNH.
  • Quand il était jeune, Lindros jouait au hockey huit mois par année. L’été, il jouait au baseball, au tennis ou au soccer. Nos jeunes hockeyeurs devraient faire la même chose.
  • Lindros se préoccupe des gens qui sont victimes de commotions cérébrales. Il a fait un don de 5M$ pour la création d’un Centre de recherche à London, Ontario.

ROBIDAS AU PAYS DE MOUSQUIRI

  • Stéphane Robidas, ex-défenseur du Canadien et des Stars de Dallas, a procédé à l’ouverture officielle du 54e tournoi Mousquiri de Richmond. L’athlète de Sherbrooke aurait bien voulu atteindre le cap des 1000 parties dans la Ligue nationale, mais les blessures en ont décidé autrement. Il rentre donc à la maison avec un total de 937 parties et la fierté d’avoir eu une longue carrière dans le circuit Bettman.

    Stéphane Robidas est parrain d’honneur du 54e tournoi Mousquiri de Richmond. Il pose ici avec Marc-André Martel, maire de Richmond, Guillaume Cayer-Richard, président du tournoi, et Denis Messier, doyen de La Tribune.

  • S’il reconnaît qu’il n’est pas toujours facile de faire carrière à Montréal, Stéphane précise qu’il n’avait pas à supporter la pression qui est le lot des joueurs vedettes. Il n’avait qu’à fournir sa pleine mesure en espérant le mieux. L’équipe était en reconstruction sous la gouverne d’André Savard quand il a porté les couleurs du Bleu Blanc Rouge.
  • C’est Guy Carbonneau, qui le connaissait bien, qui l’a recommandé à l’organisation des Stars de Dallas. «Quand je suis arrivé au Texas, j’étais complètement dépaysé, tellement que j’avais envie de tout abandonner», avoue-t-il. C’est Bob Gainey, alors conseiller spécial des Stars, qui lui a souhaité la bienvenue dans la langue de Molière. Stéphane a le plus grand respect pour l’ancien capitaine des Glorieux.
  • «C’est excitant de jouer à Montréal parce qu’il y a salle comble à tous les matchs et beaucoup d’ambiance dans le Centre Bell, ajoute Robidas. En général, les joueurs peuvent vivre avec la critique. Ça fait partie de la game. C’est souvent plus difficile pour la famille du joueur».
  • Robidas ne cache pas son admiration pour le vieux Andrei Markov. «Il a ralenti avec les années, mais il est tellement intelligent, dit-il. Markov a aidé plein de joueurs du Canadien, dont Sheldon Souray et Mike Komisarek».

    Stéphane Robidas a terminé sa carrière dans la LNH dans l’uniforme des Maple Leafs.

  • Parmi les invités à l’ouverture officielle du tournoi Mousquiri, il y avait Alain Rayes, député de Richmond-Arthabaska, Marc-André Martel, maire de Richmond depuis 30 ans, et Herman Herbers, maire du canton de Cleveland. À la blague, Herman dit à qui veut l’entende que son canton a gagné le championnat de la NBA en plus d’atteindre la Série mondiale!
  • Sylvain Daigle, président du hockey mineur à Richmond, est un ancien coéquipier de Stéphane Robidas à ShawiniganRobert Drouin, vêtu comme un prince, agit comme maître de cérémonies… Il y avait aussi Stéphanie Roy, représentante de Karine Vallières, Terry Wilkins (Windsor), Keven Deslauriers, Amanda Boersen, Claude Beaubien, Micheline Pouliot, Annie Daigle, Jos Marchand, Bob Boyer, Pyer-Lyne Deslauriers et le bon vieux Marcel Thibault, gérant de l’aréna.
  • Parmi les légendes qui ont participé au Mousquiri (comme joueur ou invité d’honneur), il y a Patrick Roy,

    Patrick Roy fait partie des légendes qui ont participé au tournoi Mousquiri.

    Martin Brodeur, Félix Potvin, Marc-André Fleury, Vincent Damphousse, Éric Desjardins, Stéphane Matteau, Mario Tremblay, Ronald Corey, Guy Lafleur, Pat Burns, Aldo Giampaolo, Michel Bergeron, Pierre Mondou, Patrice Bergeron, Sylvain Lefebvre, Pascal Dupuis, Antoine Vermette, David Perron, Patrice Brisebois, Yanic Perreault, Sean McKenna, Stéphan Lebeau, Dany Dubé, Marc Fortier et Gilbert Perreault.

  • Carey Price fatigué? Voyons donc! Il ne joue jamais deux soirs de suite…
  • Six en ligne pour les Rangers: Le jeune Jimmy Vesey, un produit de l’Université Harvard, a réussi un but de toute beauté pour procurer un gain de 3-2 aux Rangers sur la patinoire de Columbus. 6 de suite pour la troupe d’Alain Vigneault.
  • À Calgary, Mike Smith a stoppé 36 rondelles pour blanchir les Flames 5-0. Le jeune Christian Dvorak a été le meilleur des Coyotes avec deux buts et une passe. Natif de l’Illinois, Dvorak est un produit des Knights de London. Il a amassé 121 points dans la Ligue Junior de l’Ontario l’hiver passé.
  • C’était amusant de revoir Jean-Guy Gendron dans le documentaire de l’ONF sur les premiers balbutiements des Nordiques en 1972. Il y avait moins de neige sur la couverture, mon cher Jean-Guy!
  • Jason Pominville, du Wild du Minnesota, est l’employé de la semaine dans la LNH. Il a devancé le gardien de but Jake Allen (Saint-Louis) et l’attaquant Viktor Arvidsson (Nashville).
  • Selon Michel Bergeron, Jeff Petry est redevenu le joueur qu’il était à Edmonton. Difficile de le contredire.
  • Claude J. Lavoie anime Le Réveil du Nord sur les ondes de CINN-FM à Hearst, Ontario. Parmi ses collaborateurs, il y a Pélo, Paul Dubé (boxe) et Marc Griffin (baseball).
  • Paul Villeneuve a finalement revendu la chaise qu’il avait louée sur la Catherine pour le défilé de la coupe Stanley!

Le mot d’humour

Les gens me disent de ne pas vivre dans le passé, mais la musique était tellement meilleure dans ce temps-là!