Les anniversaires du dimanche 17 avril

En passant

  • PHIL GIROUX, ex-champion de la PGA du Québec, quatre fois 20 ans.
  • BORJE SALMING, ex-défenseur étoile des Maple Leafs, 65 ans.
  • MARQUIS GRISSOM, ancien voltigeur de centre des Expos, 49 ans.
  • BOOMER ESIASON, ancien quart-arrière des Bengals, 55 ans.
  • ERIC BREWER, ex-défenseur des Blues, 37 ans.

    Le Suédois Borje Salming a connu une grande carrière dans l'uniforme des Maple Leafs. Il a été élu au panthéon du hockey en 1996.

    Le Suédois Borje Salming a connu une grande carrière dans l’uniforme des Maple Leafs. Il a été élu au panthéon du hockey en 1996.

  • SKIP DION, vétéran golfeur de Sherbrooke, 70 ans.
  • DARY LAFLAMME, président de Boscus et grand ami de Guy Carbonneau, 63 ans.
  • JIMMY MANN, ancien dur-à-cuire des Castors Juniors et des Jets de Winnipeg, 57 ans.
  • PENNY et VICKY VILAGOS, nage synchro, 53 ans.
  • CHUCK KOBASEW, ancien des Bruins, 34 ans.
  • BOB CREVIER, pionnier de la Ligue Dépression, 83 ans.
  • PETER McLEOD, le «p’tit comique» de Lac-Drolet, 47 ans.
  • MARCEL-ÉMILE CHAGNON, de Bromptonville, 77 ans.
  • ANDRÉ BLAIS, ancien adepte du kick-boxing, 48 ans.
  • BOB PELLERIN, de Longer Construction à Sherbrooke.
  • KEN DANEYKO, ex-défenseur des Devils, 52 ans.
  • TOM RUNNELS, ancien gérant des Expos, 61 ans.
  • BRAD BOYES, ancien des Blues et des Panthers, 34 ans.
  • LÉON McNICOLL, retraité de Domtar-Windsor, 84 ans.
  • DENNIS HEXTALL, ancien des Red Wings, 73 ans.
  • GENTLEMAN JIM KELLY, ancien lutteur, 86 ans.
  • MICHELLE GENDRON, de Sports-Québec.
  • RÉAL FORCIER, des JSH, 83 ans.

Derrière Jackie, il y avait Rachel Robinson

Au début des années 1970, j’ai eu la chance de passer quelques minutes en compagnie de Jackie Robinson lors d’un banquet au centre-ville de Montréal. Malgré ses sérieux problèmes de santé, il avait accepté de venir faire un tour dans la ville où il a amorcé sa carrière professionnelle.

Si ma mémoire est fidèle, Robinson n’avait pas été très loquace. Qu’aurait-il pu ajouter de plus après avoir fait sauter la barrière raciale et avoir

Jackie Robinson s'est battu courageusement pour les gens de sa race.

Jackie Robinson s’est battu courageusement pour les gens de sa race.

milité si longtemps pour l’avancement des Afro-Américains? Il était d’abord à Montréal pour accorder son appui aux Expos qui en étaient à leurs premiers balbutiements dans le baseball majeur.

Jackie Robinson était un personnage plus grand que nature, un très grand héros du XXe siècle. Ce n’est pas un hasard si son numéro 42 a été retiré de la circulation il y a quelques années. Il a non seulement changé la face du baseball, mais il a changé le visage de l’Amérique toute entière. Il fut un temps où il était le plus gros nom aux États-Unis… après Bing Crosby.

Ken Burns, grand champion des documentaires au pays de l’Oncle Sam, a réalisé un petit bijou sur la vie et la carrière de l’ancien joueur étoile des Dodgers de Brooklyn. J’ai dévoré les deux épisodes du début à la fin.

Branch Rickey

Il faut d’abord savoir que Robinson n’aurait jamais pu ouvrir la porte aux athlètes de sa race si Branch Rickey, grand patron des Dodgers, n’avait pas tenu tête aux dirigeants des autres équipes qui s’opposaient farouchement à son projet d’intégration.

Rickey était convaincu que c’était la meilleure chose à faire pour l’avancement du baseball et il n’a pas lâché prise. Il a aussi fait promettre à son protégé de «présenter l’autre joue» si on le giflait. En dépit de son caractère bouillant, Jackie a accepté courageusement de jouer le jeu pour atteindre son objectif.

À ses débuts chez les Dodgers, il a eu droit aux pires insultes. Certains lanceurs lui visaient carrément la tête. Il devait aussi se méfier des crampons des joueurs adverses. Il a même été méprisé par certains de ses coéquipiers qui ne voulaient pas jouer avec un «Nègre». Il n’avait qu’une seule option: répliquer avec son coup de bâton et sa vitesse sur les sentiers.

Il l’a si bien fait qu’il a fini par gagner presque tout le monde à sa cause. Le point tournant est survenu quand il a reçu l’appui de son capitaine, Pee-Wee Reese, un Redneck du Kentucky. Un jour, Pee-Wee est allé à sa rencontre pendant une partie et il a placé son bras pour son épaule pour signifier à tout le monde qu’il faisait partie de l’équipe à part entière.

La pression était très lourde sur les épaules de Robinson. S’il ratait son coup, c’était la fin d’un grand rêve pour ses compatriotes. Il n’aurait pas réussi sans l’appui indéfectible de son épouse Rachel, une femme en or qu’il a rencontrée alors qu’il était étudiant dans le sud de la Californie.

Rachel Robinson: une femme extraordinaire.

Rachel Robinson: une femme extraordinaire.

Rachel était toujours là pour encourager son homme, l’écouter et lui remonter le moral. Elle aimait profondément Jackie et voulait l’aider à réussir sa mission. À 94 ans, elle parle encore de son ancien mari avec beaucoup de tendresse.

Maudits Yankees

Entre 1947 et 1956, Robinson a mené les «Boys of Summer» à six championnats de la Ligue nationale. Parmi ses compagnons d’armes, il y avait Duke Snider, Roy Campanella, Carl Erskine, Gil Hodges, Junior Gilliam, Pee-Wee Reese, Carl Furillo, Dixie Walker et Don Newcombe. Ebbets Field était un des endroits les plus courus en Amérique.

Les Yankees n’avaient aucun Noir dans leur clan et n’en voulaient pas non plus, mais ils finissaient toujours par battre leurs rivaux de Brooklyn, ce qui avait pour effet de mettre Robinson en rogne. Wait till next year, disait le slogan. Jusqu’en 1955. Cette année-là, Johnny Podres a blanchi les Yankees 2-0 dans le septième match pour donner aux Dodgers leur premier vrai championnat en 73 ans.

En 1956, affligé par les blessures, Robinson a raté une cinquantaine de matchs, mais il a quand même aidé son équipe à atteindre encore une fois la finale contre les Yankees. Quelques semaines après la saison, contre toute attente, les Dodgers ont décidé d’échanger leur joueur-étoile aux Giants de New York. Finalement, Jackie ne s’est pas rapporté à sa nouvelle équipe, préférant mettre fin à sa carrière.

Avec Nixon et Rockefeller

Une fois à la retraite, Robinson a poursuivi de plus belle sa lutte contre la ségrégation raciale. Il a prononcé de nombreux discours et s’est impliqué en politique. Il a accordé son appui à Richard Nixon et à Nelson Rockefeller, ne s’est pas gêné pour attaquer John F. Kennedy, Barry Goldwater et Malcolm X. Bien sûr, il s’est fait plusieurs ennemis, spécialement chez les Démocrates. En politique, personne ne fait l’unanimité, pas même un athlète de son envergure.

Robinson s’est rendu en Alabama pour appuyer les gens de sa race et il a participé à la Marche sur Washington au printemps 1968. Il a participé activement à la bataille des droits civils, mais on a fini par le placer sur la voie d’évitement. Ses frères de sang préféraient écouter Muhammad Ali ou le footballeur Jim Brown.

Rongé par le diabète, Robinson a été très affecté par la mort de son fils Jackie Jr. dans un accident d’automobile. En 1972, on l’a invité à lancer la première balle avant la deuxième partie de la Série mondiale entre les Reds et les Athletics. Il en a profité pour dire qu’il rêvait de voir un gérant noir dans le baseball. Quelques mois plus tard, il s’est écroulé dans sa résidence du Connecticut, victime d’une crise cardiaque. Il avait seulement 53 ans.

«Je m’ennuie encore de lui, dit Rachel. Je m’ennuie de son amitié et de la façon dont il mettait son bras autour de moi. Jackie n’était pas un Noir enragé comme on a bien voulu le laisser entendre. Il était juste un athlète fier qui voulait gagner».

Aujourd’hui, on peut dire que le combat de Robinson n’a pas été vain même si le racisme est encore bien présent chez nos voisins du Sud. En tout cas, il a ouvert la voie à des centaines d’athlètes et il a marqué l’histoire de l’Amérique.

DÉBUT DES SÉRIES

  • Qui a PATRIC HORNQVIST dans son pool des séries? Le jeune homme a réussi le tour du chapeau pour mener les PENGUINS à une victoire de 5-2 sur les Rangers. JEFF ZATKOFF (35 arrêts) et SID THE KID (un but, deux passes) sont les deux autres étoiles de la rencontre.
  • À Saint-Louis, les BLUES ont pris les devants sur les Blackhawks. Le capitaine DAVID BACKES a inscrit le seul but du match, en prolongation, et BRIAN ELLIOTT a stoppé 35 rondelles. Cette série s’annonce très longue.
  • À Tampa, NIKITA KUCHEROV a marqué deux fois et le Lightning l’a emporté 3-2 sur les Red Wings. Kucherov est un ancien joueur des Huskies. Le but gagnant appartiennt à ALEX KILLORN.

 

 

 

 

 

Les anniversaires du samedi 16 avril

En passant

  • KAREEM ABDUL-JABBAR, ancien joueur étoile des Lakers, 69 ans.
  • BILL BELICHICK, génie du football et coach des Patriots, 64 ans.
  • JIM LONBORG, ex-lanceur des Red Sox, 73 ans.

    Bill Belichick a mené les Patriots à quatre conquêtes du Super Bowl.

    Bill Belichick a mené les Patriots à quatre conquêtes du Super Bowl.

  • KYLE OKPOSO, un des meilleurs joueurs des Islanders, 28 ans.
  • MATTHIEU PROULX, ancien des Alouettes et analyste à RDS, 35 ans.
  • CONCHITA MARTINEZ, tennis, 44 ans.
  • VIC THÉRIAULT, promoteur, trois fois 20 ans.
  • GARRY GALLEY, ex-défenseur des Kings, 53 ans.
  • JEAN-PHILIPPE BEAULIEU, de Rouyn-Noranda.
  •  ISABELLE C. BELLIVEAU, de Saint-Jérôme, 28 ans.
  • FRANCIS OUELLETTE, ex-gardien de but de la LHJMQ, 46 ans.
  • MAX BRADETTE, trot et amble.
  • ANDRÉ CHARETTE, de Windsor.
  • JOHANNE GUERTIN, des JSH, 57 ans.

Jacques Demers: au jour le jour

En passant

  • JACQUES DEMERS est toujours hospitalisé après avoir été victime d’un AVC, la semaine dernière, et personne ne sait combien il lui faudra de temps pour retrouver ses moyens. Pas même les médecins. «Jacques est encore en état de choc, me dit son frère Michel. On lui parle et il nous entend, mais il ne peut pas communiquer avec nous. Il faut prendre ça un jour à la fois. Ça pourrait aller mieux demain comme dans quatre mois».
  • Dimanche soir, RDS présentera un documentaire sur la carrière de JACQUES DEMERS dans le cadre de la série «25 ans d’émotion».

    Jacques Demers récupère très lentement de son accident vasculaire-cérébral à l'hôpital de l'Université McGill.

    Jacques Demers récupère très lentement de son accident vasculaire-cérébral à l’hôpital de l’Université McGill.

  • Je ne veux pas savoir si P.K. SUBBAN est le mieux habillé parmi les joueurs de hockey. Je veux savoir s’il est un bon joueur d’équipe et un gars responsable dans sa zone.
  • Le capitaine JOHN TAVARES a mené les Islanders à une victoire de 5-4 dans les premier match de la série contre les Panthers. Il a terminé la soirée avec un but et deux passes. REILLY SMITH a été le meilleur pour les Panthers avec deux buts.
  • À Washington, BRADEN HOLTBY a repoussé 19 rondelles pour blanchir les Flyers 2-0. La défaite fait doublement mal aux Flyers car SEAN COUTURIER a été blessé à l’épaule en encaissant une dure mise en échec d’ALEX OVECHKIN. On doute qu’il revienne au jeu cette saison. MARCUS JOHANSSON a participé aux deux buts des Capitals.
  • À Los Angeles, JOE PAVELSKI a marqué deux buts, dont celui de la victoire en début de troisième période. Les SHARKS, qui aimeraient bien venger leur échec de 2014, ont quitté les lieux avec un gain de 4-3. Cette série s’annonce très longue.
  • À Dallas, KARI LEHTONEN a blanchi le Wild du Minnesota 4-0. Jason Spezza et Jamie Benn ont trouvé le fond du filet.
  • GARY PLAYER est catégorique: «SAM SNEAD est le plus grand athlète à avoir joué sur le circuit de la PGA».
  • CHASE MARCHAND, jeune gardien de but des Huskies de Rouyn-Noranda, connaît une séquence exceptionnelle. Il a réussi CINQ JEUX BLANCS depuis le début des séries tout en maintenant un pourcentage d’efficacité de ,983. La quasi perfection. Il a aussi blanchi ses rivaux pendant plus de 200 minutes.
  • JEAN-LUC BRASSARD à RDI: «Cette expérience m’a ouvert les yeux sur la condition féminine. J’ai une admiration sans bornes pour la personne qui s’est levée debout pour dénoncer la situation. Me Aubut est à terre et ça ne me donne rien d’en rajouter».

    Jean-Luc Brassard: droit comme un chêne.

    Jean-Luc Brassard: droit comme un chêne.

  • Jean-Luc n’avait plus le force de poursuivre son travail de chef de mission dans le contexte actuel. Il était en conflit avec un haut dirigeant du COC et il a préféré s’en aller pour le bien des athlètes. C’est tout à son honneur. Maudite affaire de merde!
  • Il y a 47 ans hier, les EXPOS jouient leur première partie au petit stade de la rue JARRY. Victoire de 8-7 contre les Cards avec MACK JONES dans le rôle de héros.
  • KOBY BRYANT, des Lakers de Los Angeles, se retire de la NBA après avoir gagné plus de 300M$ en salaires.
  • La station de ski MONT SUTTON perd un de ses pionnniers en la personne de BENOÎT BOULANGER. Il aura conclu la vente de la station avant de mourir.
  • Excellent début de saison pour les CUBS, Washington et Baltimore. C’est beaucoup moins drôle pour MINNESOTA et Atlanta.
  • SERGE SAVARD continue d’appuyer la Corporation études-sports du VERT & OR de l’Université de Sherbrooke. En cinq ans, on a réussi à amasser UN MILLION de dollars pour le programme. Durant la prochaine année, près de 400 étudiants se partageront des bouses totalisant 200 000$. Le grand Serge a participé à la soirée «tailgate» avec DANIEL LEMAY (Mouvement Desjardins), SÉBASTIEN MORIN (Immex), Jean Pelchat et LUCE SAMOISETTE, rectrice de l’UdeS.

    Serge Savard supporte la corporation du Vert & Or.

    Serge Savard supporte la corporation du Vert & Or.

  • FÉLIX POTVIN ne détesterait pas tenter sa chance comme entraîneur dans la LHJMQ, mais il ne fera pas du porte-à-porte. «Ils savent où me trouver», dit-il.
  • La Corporation des fêtes entourant le 200e anniversaire de DRUMMONDVILLE affiche un surplus de 234 000$.
  • STÉPHANE JULIEN serait sur le point de signer un contrat de deux ans comme entraîneur du PHOENIX DE SHERBROOKE. Stéphane est un ancien coéquipier de JOCELYN THIBAULT chez les Faucons. Il a remplacé JUDES VALLÉE au mois de décembre.
  • ÉTIENNE PAPINEAU, du club Pinegrove, vient de compléter son cinquième camp d’entraînement sous les palmiers. Il remercie les responsables l’Académie de golf FRED COLGAN pour leur appui.
  • DAVIS LOVE était convaincu que TIGER WOODS participerait au dernier tournoi des Maîtres. Lorsque Tiger a annoncé qu’il serait absent, il a cru que c’était un poisson d’avril. Woods sera un de ses adjoints lors du prochain tournoi de la coupe Ryder.
  • L’ancienne skieuse GENEVIÈVE SIMARD est devenue pilote d’hélicoptère à SEPT-ILES. On peut la voir dans la série Hélico au canal D.

    L'ex-skieuse olympique est devenue pilote d'hélicoptère.

    L’ex-skieuse olympique est devenue pilote d’hélicoptère.

  • BRYSON DeCHAMBEAU, un jeune homme très intelligent, joue dans la Classique Heritage à HILTON HEAD, en fin de semaine. C’est son premier tournoi en tant que professionnel.
  • GERRY PLAMONDON, qui a aidé le Canadien à gagner la coupe Stanley en 1946, est le plus vieux joueur des Glorieux encore vivant. Âgé de 92 ans, Gerry collectionne les horloges et il en a plus de 75 dans sa résidence de SHERBROOKE.
  • DAVID ORTIZ, des Red Sox, prédit que son coéquipier MOOKIE BETTS deviendra un joueur étoile.
  • Les MAROONS DE WATERLOO feront face à l’élimination, vendredi soir, sur la patinoire de SAINT-LÉONARD D’ASTON.
  • Un fait saillant dans la carrière de JACKIE ROBINSON: grâce à sa rapidité et à son audace, il a VOLÉ LE MARBRE à 19 reprises.
  • ALEXANDRE MESSIER est le nouveau gérant des EXPOS DE SHERBROOKE (baseball senior). Il succède à ISSAEL GONZALEZ.
  • J’ai rêvé que mon ami ROGER H. LEGAULT participait au Masters avec Jordan Spieth, Jason Day et Rory McIlroy. Son caddie était RUSS PARSONS, du club Venise, et il en bavait un coup en grimpant la butte du 8e trou!
  • Le professionnel MICHEL TRUDEAU amorce sa 35e saison au club de golf CANDIAC.
  • Le vétéran journaliste ANDRÉ ROY a profité de son passage à Saint-Augustin (son village natal) pour renouer avec JEAN DAVID, Pierre-Paul Forget, Claude Stephenson et Serge Labrèche.
  • STEVE STRICKER et NICK PRICE agiront comme capitaines lors du tournoi de la COUPE DES PRÉSIDENTS en 2017. Price en sera à sa troisième expérience du genre.
  • GILLES PERRON, ancien animateur au Casa Loma et à l’hôtel Central de Chomedey, est devenu un champion des mots croisés.

Le mot d’humour

C’est l’histoire du Redneck qui arrive en retard à l’hôpital pour assister à l’accouchement de son épouse.

À son arrivée sur les lieux, l’infirmière lui dit: «Bravo, monsieur. Votre épouse vient de donner naissance à des quintuplets. Cinq beaux gros garçons».

– «Ça ne me surprend pas, dit-il fier comme un paon. J’ai le pénis de la grosseur d’une cheminée».

– «Si tel est le cas, vous devriez la faire nettoyer, monsieur. Les cinq bébés sont noirs!»