Il était une fois, un gars qui prenait grand soin de son corps.
Il levait des poids haltères et courait ses 10 kilomètres tous les jours. Il mangeait “santé”, prenait des vitamines, se couchait tôt, ne buvait pas et ne fumait pas non plus. Bref, une bien belle bête!
Un bon matin, alors qu’il s’admirait dans son miroir, il eut un choc en réalisant qu’il était entièrement bronzé, exception faite de son pénis. Il décide donc de corriger cette anomalie sur le champ. Il se rend à la plage, trouve un petit coin peu fréquenté et se recouvre entièrement de sable, sauf son «instrument» qu’il laisse à découvert pour le faire bronzer.
Deux vieilles dames passant par là eurent tôt fait de remarquer la chose. L’une d’elles, au bord de la crise de nerfs, s’écria: «Il n’y a vraiment pas de justice en ce bas monde!»
– «Que veux-tu dire par là?», lui demande sa camarade.
– «Écoute, quand j’avais 10 ans, j’en avais peur.
À 20 ans, j’en étais curieuse.
À 30 ans, j’en profitais.
À 40 ans, j’en demandais encore.
À 50 ans, je payais pour en avoir.
À 60 ans, je priais pour en avoir.
À 70 ans, j’avais oublié que ça existait.
Maintenant que j’en ai 80, les maudites, elles poussent à l’étât sauvage!»
Ben cou donc!
