Le match à surveiller: 49ers vs Packers

Les amateurs de football américain seront choyés en fin de semaine avec la présentation des premiers matchs de championnat de la toute puissante NFL.

Quatre parties sont à l’affiche et les gagnants mériteront le droit d’affronter, Seattle, les Patriots, Caroline et Denver en deuxième ronde.

  1. Dans le premier match au programme, les COLTS d’Indianapolis sont favoris pour éliminer les Chiefs de KANSAS CITY. Les Colts ont le vent dans les voiles tandis que les Chiefs ont terminé la saison en queue de poisson en perdant cinq de leurs sept dernières rencontres. ANDREW LUCK aura la chance de prouver qu’il est le digne successeur de Peyton Manning.
  2. Les SAINTS de La Nouvelle-Orléans, habilement dirigés à l’attaque par le vétéran Drew Brees, n’ont pas le même mordant quand ils jouent à l’étranger et l’attaque au sol des EAGLES de Philadelphie leur en fera voir de toutes les couleurs. En bout de ligne, NICK FOLES aura le dernier mot.
  3. Les CHARGERS de San Diego devront jouer leur meilleur match de la campagne pour aller battre les Bengals à CINCINNATI. Leur sort repose entre les mains de PHILLIP RIVERS. Pile ou face?

    Aaron Rodgers tentera de mener les Packers à la victoire contre les puissants 49ers de San Francisco. Tout un match en perspective.

    Aaron Rodgers tentera de mener les Packers à la victoire contre les puissants 49ers de San Francisco. Tout un match en perspective.

  4. La partie que tous les amateurs attendent avec impatience est celle qui opposera les 49ers de SAN FRANCISCO aux Packers de Green Bay, dimanche après-midi (16h.40). Tout un duel en perspective entre le très athlétique COLIN KAEPERNICK et le général AARON RODGERS. Les 49ers sont favoris même si le match aura lieu à Lambeau Field, mais il ne faut jamais compter Rodgers pour battu. Il a réussi son retour au jeu, la semaine dernière, et il sera tout feu tout flamme devant ses fidèles partisans. J’aime les deux équipes et je souhaite simplement que le SPECTACLE sera à la hauteur des attentes.
  5. Enfin, il est surprenant que les BEARS de Chicago aient consenti un contrat de 50M$ à JAY CUTLER, un quart-arrière qui a connu toutes sortes d’embêtements depuis le début de sa carrière. Cutler n’est pas vilain, mais il n’est pas dans la catégorie des super vedettes. On lui fait sans doute confiance en attendant de trouver mieux.

Bon week-end à tous les amateurs de football américain.

Publié dans NFL

Les anniversaires du samedi 4 janvier

En passant

  • DON SHULA, célèbre entraîneur des Dolphins de Miami, 84 ans.
  • DAVID TOMS, vétéran de la PGA, 47 ans.
  • MARCEL FORTIER, professionnel de golf à la retraite, 84 ans.
  • GUY FORGET, champion de tennis, 49 ans.
  • BOB COURCY, ancien joueur des Barons de Cleveland, 78 ans.
  • MARINA ORSINI, alias Émilie Bordeleau, 47 ans.
  • TOM WILKINSON, ancien joueur étoile des Eskimos, 71 ans.
  • RODGER BRULOTTE, de TVA Sports, 67 ans.
  • MARTIN LACROIX, de Jandec, 44 ans.
  • BERNARD CÔTÉ, de la maison J.B. Laverdure, 46 ans.
  • GILBERT HAMEL, trot et amble, 68 ans.
  • ALAIN MAROIS, de Valleyfield, 54 ans.
  • GAÉTAN GRAVELINE, Yves Salois et Denis Richard, de Windsor.
  • LUC CHARBONNEAU, ancien joueur de hockey, 46 ans.
  • TITO FUENTES, ancien joueur des Giants, 70 ans.
  • CLAUDE SAINT-GERMAIN, de Sorel, 73 ans.
  • DIANE LACHANCE, ex-employée du Journal de Montréal.
  • SYLVAIN PAULHUS, trot et amble.

Le vieux Wrigley Field fêtera ses 100 ans en 2014

Le Wrigley Field de Chicago, un des stades les plus connus du baseball majeur, sera l’objet de plusieurs célébrations en 2014 à l’occasion de son 100e anniversaire.

Quand on pense au Wrigley Field, on pense tout de suite à Ernie Banks et à Ferguson Jenkins, au vieux tableau indicateur au fond du champ centre, à Harry Caray et Ron Santo, aux vignes agrippées à la clôture, à Phil Wrigley, roi de la gomme à mâcher, aux «bums» dans les estrades populaires, aux corridors poussiéreux et au fameux circuit de Babe Ruth dans la Série mondiale de 1932.

Le Wrigley Field de Chicago: un stade comme il ne s'en fait plus.

Le Wrigley Field de Chicago: un stade comme il ne s’en fait plus.

Durant les années 1970, j’ai souvent eu le plaisir de m’installer sur la vieille galerie de presse pour suivre les duels entre les Expos et les Cubs. Je me souviens en particulier d’un match si long qu’il avait fallu le finir le lendemain à cause de la noirceur. Si ma mémoire est fidèle, les Expos avaient perdu 8-7 et l’excellent Mike Marshall, artiste de la balle tire-bouchon, avait été le lanceur perdant.

J’ai aussi souvenir d’une bagarre entre Gene Mauch et le voltigeur Jose Cardenal, des Cubs. Gene n’avait pas son égal pour «barber» ses adversaires et il devait parfois vivre avec les conséquences.

À cette époque, il n’y avait pas de réflecteurs au Wrigley Field et cela contribuait à en faire son charme. Comme il n’y avait jamais de match en soirée, cela nous permettait d’aller faire la fête dans les meilleurs restaurants de Chicago, en particulier au Italian Village où nous avons souvent «fermé la place».

Le premier match sous les réflecteurs a eu lieu le 8 août 1988 à la suite d’une longue bataille pour convaincre les résidents du secteur Lake View qu’il ne fallait plus vivre dans les années 1930.

Le Wrigley Field est aussi appelé «Friendly Confines». C’est Ernie Banks qui a popularisé l’expression durant les années 1960.

Denis Savard adore le baseball et le Wrigley Field. Il s'y rend chaque fois qu'il en a la chance.

Denis Savard adore le baseball et le Wrigley Field. Il s’y rend chaque fois qu’il en a la chance.

Denis Savard, qui a longtemps été la grande étoile des Blackhawks après Bobby Hull et Stan Mikita, a lui aussi un faible pour le vieux stade de la rue Addison et il s’y rend aussi souvent que possible.

Comme le chantait si bien Frank Sinatra, «Chicago is my kind of a town». Les Cubs n’ont pas participé à la Série mondiale depuis 1945 et ne l’ont pas gagnée depuis 1908, mais ils ont de quoi être fiers de leur stade de baseball. C’est un monument qui se compare avantageusement au Fenway Park de Boston.

Les anniversaires du vendredi 3 janvier

En passant

  • BOBBY HULL, ancien joueur étoile des Blackhawks, 75 ans.
  • MICHAEL SCHUMACHER, champion mondial de F-1, 45 ans.
  • ELI MANNING, quart-arrière des Giants de New York, 33 ans.
  • ISABELLE CHAREST, championne olympique en patinage de vitesse, 41 ans.
  • LARRY CARRIÈRE, de l’organisation du Canadien, 62 ans.
  • A. J. BURNETT, lanceur des Pirates de Pittsburgh, 37 ans.
  • MARCEL JOBIN, notre fou en pyjama, 72 ans.
  • FRANÇOIS LEBLOND, ancien directeur des sports sur la rue Frontenac, 55 ans.
  • JEAN SAINT-ONGE, de Radio-Canada, 51 ans.
  • MIKE WALTON, ancien joueur des Maple Leafs, 69 ans.
  • JACQUES CLOUTIER, ex-gardien de but des Sabres de Buffalo, 54 ans.
  • CATHERINE SAVARD, fille de Serge Savard, 33 ans.
  • RICK MacLEISH, ancien joueur étoile des Flyers, 64 ans.
  • ISABELLE LÉVESQUE, de Radio-Canada à Matane.
  • MEL GIBSON, acteur américain, 58 ans.
  • DARREN DAULTON, ancien receveur des Phillies, 52 ans.
  • JIM DWYER, ex-voltigeur des Expos, 64 ans.
  • BARRY LONG, ex-défenseur des Jets de Winnipeg, 65 ans.
  • CHARLES HAMELIN, notaire, 79 ans.
  • PIERRE VANIER, du Journal de Montréal, 49 ans.
  • DRAKE BEREHOWKSY, ancien des Maple Leafs, 42 ans.
  • BOB GEBHARD, ancien patron des Rockies du Colorado, 71 ans.
  • RICK ST.CROIX, ex-gardien des Flyers, 59 ans.
  • GARY LAVELLE, ancien lanceur des Giants, 65 ans.